‘‘LA 4è VOIX’’, LA VOIX DES SANS VOIX ’’ a livré les raisons de sa naissance. Elle est née suite à plusieurs analyses de la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire face aux échecs et les revers de plusieurs coalitions, selon son président de son directoire, Théophile Soko Waza, du Congrès du Peuple pour le Développement et les Libertés. toute la védéo de sa déclaration de naissance:
«Nous avons trouvé la nécessité de ramener la Côte d’Ivoire dans le sens de la paix, dans le sens de la démocratie et dans le sens de la cohésion sociale devant un tel constat d’échec. Nous avons trouvé que les populations dans leur grande majorité n’ont plus droit à la parole ; nous avons trouvé qu’il y a plusieurs ivoiriens délaissés qui ne peuvent plus s’exprimer ; nous déplorons qu’il y a des enfants qui ne sont pas pris en compte par l’Etat de Côte d’Ivoire et plusieurs diplômés sans emplois; nous avons remarqué qu’il y a des familles qui n’arrivent pas à avoir un seul repas dans la journée ; nous avons trouvé qu’il y a des ivoiriens en exil, nous avons constaté qu’il y a encore un chef d’Etat ivoirien en prison ; nous avons remarqué qu’il y a des ivoiriens encore exil ; nous avons remarqué qu’il y a des ministres et des ivoiriens en prison. Aujourd’hui, il y a encore des ivoiriens qui se trouvent dans des positions inconfortables malgré que la Constitution garantit la Liberté des uns et des autres. Nous avons trouvé que l’équilibre social n’est plus garanti en Côte d’Ivoire et pose le problème de la stabilité sociale ; nous avons trouvé que la situation de la nature et de l’environnement sociopolitique pose problème et que l’équilibre social n’étant plus garanti, alors nous nous sommes dit qu’il y a quelque chose à faire », indique Théophile Soko Waza quiu poursuit.
«Nous avons trouvé qu’il faut que des Ivoiriens se lèvent et qu’ils parlent. Qu’ils agissent et interagissent pour changer la situation. Il faut que des ivoiriens se lèvent et qu’ils soient le porteur de parole des sans voix, ceux qui n’ont pas droit à la parole, de ceux qui sont opprimés, de ceux qui souffrent dans le silence et ils sont nombreux. Ce sont toutes ces réflexions et cette situation qui ont suscité la naissance et la mise en place de ce groupe de réflexion, de cette plateforme et de cette coalition qui s’appelle : ‘‘LA 4ème VOIX, LA VOIX DES SANS VOIX’’ ! ».
Pourquoi la ‘‘4ème VOIX’’ ?
«Il y a eu trois organisations ou coalitions politiques qui ont déjà exercé le pouvoir d’Etat en Côte d’Ivoire. Mais à la suite de ces trois organisations, le pays n’a pas encore retrouvé le chemin de la croissance économique et sociale ; le pays n’a pas encore retrouvé la stabilité ; le pays n’a pas encore trouvé la paix, la cohésion sociale et il est, toujours dans les situations difficiles. Et les populations apeurées qui ne savent plus à quoi se donner et à qui se donner, il leur faut, une autre voie. Il leur faut une autre alternative. Et cette alternative, c’est : ‘‘LA 4ème VOIX, LA VOIX DES SANS VOIX’’ !
Pourquoi la VOIX !, parce que nous voulons parler au nom de ces sans voix. Nous voulons parler au nom de tous ces oubliés, de tous ces démunis. Raisons pour laquelle nous avons choisi, ‘‘LA 4ème VOIX, LA VOIX DES SANS VOIX’’ ! Un ensemble d’Ivoiriens, du Nord, du Centre, du sud, de l’ouest de l’est, de toutes sensibilisées qui travaillent en bonne intelligence pour tirer la Côte d’Ivoire vers le haut », explique-t-il.
«Nous lançons un appel à toutes les organisations qui veulent apporter un plus à la Côte d’Ivoire pour que nous soyons de plus en plus nombreux à représenter la vraie Voix de la Côte d’Ivoire, le vrai désir de changement du peuple et à la mutualisation des forces et des faiblesses pour que la Côte d’Ivoire reprenne sa place de leader et aller dans le sens de développement. Pour que les Ivoiriens puissent vivre en paix et avoir un véritable projet de vivre dans une nation émergente qui va réellement de l’avant». Ses instances sont : la Conférences des présidents, un directoire et un secrétariat exécutif. «Ce ne sera pas une organisation de silencieux, mais active qui va changer l’environnement sociopolitique» termine, Théophile Soko Waza. A suivre…
HMAKRE
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