Abidjan: le Congrès pour la renaissance ivoirienne et panafricaine investit le terrain par les femmes
redaction
Le Congrès pour la renaissance ivoirienne et panafricaine (CRI panafricain) est né officiellement en 2011 à Bordeaux en France au lendemain de la crise post-électorale en Côte d’Ivoire, en tant que mouvement de pression et de résistance. Le CRI panafricain devient parti politique en Août 2014 par la volonté de son président fondateur Abel Naki lors d’une assemblée générale constitutive. Ce parti adhère à l’idéologie socio-démocrate avec des valeurs panafricaines. Il reste attaché aux valeurs républicaines ; des libertés publiques et individuelles. Dans le cadre de la mise en place de ses instances, le CRI panafricain a présenté la présidente des femmes et l’ensemble de son bureau dimanche 15 Mars 2020 à Yopougon.
Joseph Adangba, sécretaire général adjoint chargé de l’implantation demande d’investir toutes les contrées du district d’Abidjan pour porter le message de ce jeune parti qui a beaucoup d’ambitions pour les femmes de Côted’Ivoire.
Fraîchement installée, Irié Pauline présidente de l’union des femmes du CRI panafricain s’est félicitée du choix porté sur sa modeste personne avant de solliciter le soutien de ses sœurs
: «Le président fondateur du parti Abel Naki nourrit beaucoup d’ambitions pour l’autonomisation des femmes ; c’est pourquoi je vous invite à être motiver pour bénéficier de ses nombreuses relations à travers l’Europe». Quant à madame Tia Marie louise dite maman Tia, vice-présidente du parti, elle a félicité sa filleule avant de lui rassurer de son soutien pour la réussite de sa mission. A cette sympathique cérémonie, l’on notait la présence remarquable de Bédé boka Stanislas, secrétaire général du CRI panafricain, de Attey Dedjéhi Bruno et Boni Gbadi Emmanuel, respectivement secrétaires à la communication et l’organisation.