Daisyz Watozo raconte sa 1ère rencontre avec Tiburce Koffi : ses idées et le BURIDA
Il est heureux de faire son retour dans son pays, la Côte d’Ivoire, après plusieurs années en France. Daisyz Watozo, acteur, metteur en scène et réalisateur a été durant ces années à la tête de l’Association des artistes musiciens ivoiriens résidant à Paris. Sa rencontre avec Tiburce Koffi reste vivace encore avec son retour à Abidjan. Il en parle..
«Je suis artiste ivoirien, donc j’entends mettre tout ce que j’ai fait à Paris au service des jeunes de mon pays», affiche-t-il, à son retour.
Mais il revit son premier contact avec l’homme de culture, écrivain, ancien conseiller de chef d’Etat ivoirien, ancien directeur de la bibliothèque nationale à Abidjan, ancien patron de l’institut national supérieur des arts et de l’action culturelle-insaac et aujourd’hui président du conseil d’administration du BURIDA, Tiburce Koffi.
«J’ai des idées pour le Bureau ivoirien du droit d’auteur. Je suis un acteur du théâtre. Il y a au Burida un administrateur que je connais bien, Tiburce Koffi, que j’ai rencontré au festival d’Avignon en France.
Il était accompagné de la journaliste Agnès Kraidy, tous les deux envoyés par le gouvernement ivoirien au festival. Ce jours là, ils ont vu sur les affiches, un ivoirien qui remerciait le président Henri Konan Bédié.
J’étais sélectionné pour y jouer, mais le président nous a aidés pour être à Avignon. À la fin du festival ils sont venus rencontrer le metteur en scène et réalisateur que j’étais. Je leur ai dit que c’est parce que le président nous avait aidé grâce à l’appui de l’ambassadeur qui avait apprécié notre pièce théâtrale que nous le remercions… et une amitié est née».
Avec une rencontre avec le PCA du Buruda, Daisyz Watozo entend donc se mettre désormais au service du monde culturel et artistique de son pays, la Côte d’ivoire.
H. MAKRE
Ledebativoirien.net