Une bagarre s’est déclenchée entre un élève de l’école William Ponty et un autre jeune civile. L’élève a été assommé avec une bouteille par son adversaire avant de prendre la fuite. Cette bagarre a occasionné une frayeur, au carrefour William Ponty Yopougon. Les raisons d’une telle violence inouïe et inexpliquée.

$Drame à Yopougon: la vérité sur la bagarre entre élèves et civiles qui a vu la tête d'un élève fracassée 14$ Lundi 8 février, il est midi (12 heures), alors que les élèves sortis des salles pour la pause déjeuné, l’élève JCK sera confronté à un problème inattendu. Un jeune homme en civile, on ne sait venu d’où se met à se disputer avec un groupe d’élèves. Selon les témoins, il pousse violemment l’un des élèves en marchant. Lorsque JCK le plus grand du groupe tente de faire garder raison à l’inconnu, celui-ci s’empresse de lui donner un violent coup de poing surprise au visage. L’élève ne voulant pas se laisser faire devant ses amis, se jette sur son agresseur. Avec des coups de poings et de pieds, l’élève parvient à dérouter son agresseur surpris par la réaction de celui-ci. D’est alors que soudain, l’agresseur se dégageant d’un bon se saisit d’une bouteille trainant dans les parages et qu’il écrase d’un geste rapide sur la tête de l’élève. Tout en se mettant à vociférer: «Je vais te tuer aujourd’hui, tu me connais, approche et je t’éventrer tout de suite…».

$Drame à Yopougon: la vérité sur la bagarre entre élèves et civiles qui a vu la tête d'un élève fracassée 15$ N’eut été l’intervention des passants, le pire se serait produit. Ils réussissent à le maîtriser et le désarme. L’élève JCK est trempé de son sang. Sans chercher à savoir qui est son agresseur et pourquoi, il se sauve aussitôt en rentrant à la maison, laissant son agresseur dans les mains des intervenants qui le conduise à commissariat de police.

Cette bagarre menée de brutalité sanguine à occasionné la fuite des autres élèves. C’était la débandade totale et le sauve qui peut dans une stupéfaction totale face un acte qui a failli virer au drame. «Pourquoi les jeunes ivoiriens sont-ils devenus aussi violents? » s’inquiétaient les uns et les autres assistant de cette scène.

Hortense Loubia Kouame

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