« Il n’y a donc pas de feu à la demeure »
«Dans cette affaire, il y a urgence à donner la bonne information» a réagi, Olivier Yro, président de l’Organisation des Journalistes Professionnels de Côte d’Ivoire-OJPCI), dans une déclaration de clarification, ce vendredi 5 février 2021.
«Il s’agit d’une plainte actée par les légataires, c’est-à-dire, le bureau exécutif national et le comité de contrôle issus du 4ème congrès ordinaire de L’OJPCI. Les défendeurs se sont accrochés à une exception en lien avec la puissance juridique. Évidemment la juge des référés ne pouvait que rendre la décision en mention. Ce qui est d’ailleurs normal. Et nulle part, il est question de la perte de légitimité des instances actuelles de l’Ojpci.
Ce d’autant plus qu’aucune mention n’a été faite d’un quelconque congrès dont ils se défendent d’ailleurs. Sauf que la direction de L’OJPCI a, comme le lui autorise la loi, décidé de reformuler sa plainte jugée recevable. Dans les propositions de la loi, c’est à dire en copie corrigée, car c’est ce que ça veut dire. En revanche, nous sommes au stade des enquêtes au niveau de la Brigade de la gendarmerie de Cocody, toujours des suites d’une plainte actée par le Président de L’OJPCI au Tribunal Pénal, pour faux et usage de faux.
Une plainte cette fois très documentée et pour laquelle il (Ndlr: Victorien Angoa) n’a pas daigné répondre à deux reprises. Que se reproche-t-il?
Pour le BEN
Olivier Yro