Et de deux ! La jeunesse du PDCI enrichit peu à peu son catalogue d’actes de violences, comme un âne perdu, alors que guidée par le sage Henri Konan Bédié. Il y a peu, le Secrétaire Exécutif en chef Maurice Kacou Guikahué tenant une rencontre du parti a vu deux factions de la jeunesse s’affronter dans l’enceinte même du siège. Quelques semaines plus tard, la même jeunesse du parti de Bédié (certainement qu’elle a besoin d’être éduquée à la discipline) remet l’action.
Une ascension fulgurante qui crée un désordre dans le mentale de la jeunesse du parti du président Henri Konan Bédié et qui justifie son ressentiment par la violence envers les journalistes. Quelque chose doit être fait pour cette jeunesse du parti fondé avec une noble vision par Félix Houphouët-Boigny et ses compagnons, le 9 avril 1946 à l’Etoile du Sud Treichville. Sinon, elle est en perte de vraies repères.
Ici, la déclaration de la presse étrangère exerçant en Côte d’Ivoire violentée, elle aussi. Soutenue par la presse locale, l’Association de la Presse Etrangère en Côte d’Ivoire-AEPCI dénonce, par la voix de la présidente, M’ma CAMARA.
Déclaration de l’APECI
L’APECI s’insurge contre cette atteinte gravissime à la liberté de la presse émanant de surcroit d’une des instances du PDCI-RDA et la condamne avec la dernière énergie. L’APECI rappelle à la direction du PDCI-RDA que le parti est responsable de la sécurité des journalistes qui viennent couvrir l’actualité au sein de son siège. L’APECI se réserve le droit de donner des suites judiciaires à cette agression. Les médias membres de l’APECI envisagent de ne plus couvrir d’évènements au siège du PDCI-RDA,