Droit de réponse
Le 14 octobre 2021, le Media en ligne dénommé «Opera News» a publié un article ayant pour auteur M. Pierre Ephese et intitulé «AFFAIRE CIAD PRIMO: LE PDG BABILY DEMBELE RÉTABLI DANS SES DROITS PAR LA JUSTICE IVOIRIENNE». Cet article, dont le contenu renseigne à suffisance sur les carences de leur auteur et instigateur en matière juridique, mais surtout sur la méconnaissance totale qu’ils ont du dossier AMAOS c/ EX. CIAD-PRIMO, constitue, assurément, un énième coup d’épée de M. Babily dans le vent de ses illusions, définitivement perdues.
En effet, quand on s’accroche au dispositif d’une décision dont le contenu est assez clair, pour se considérer comme rétabli dans des droits, dont on se garde d’ailleurs d’en préciser la nature, c’est la preuve certaine qu’on a affaire à une personne aux abois, cherchant vaille que vaille à se donner encore du crédit.
En l’espèce, Le juge Penal a déclaré l’action du Ministère public en usurpation de titre mal fondée, et tiré la conséquence en ce qui concerne l’action civile de AMAOS. Nul part donc, le juge correctionnel n’a déclaré que M. babily est rétabli dans des droits, et que ces droits le rendaient légitimes à rassurer des acquéreurs de la promotion immobilière de l’ex CIAD PRIMO, aujourd’hui définitivement acquise par la société AMAOS. Ainsi, qu’il se considère comme le Directeur Général d’une société qui n’existe plus, cela n’engage que lui et ceux qui souhaitent lui donner encore du crédit.
Il appartient donc aux acquéreurs, qui ne sont pas en règle vis à vis du groupe AMAOS, de tirer de cette décision, qu’ils gagneraient d’ailleurs à lire en intégralité, les conséquences qui leurs paraissent opportunes. Il est à rappeler qu’en droit ivoirien, une décision rendue par une juridiction inférieure ne peut préjudicier à celle d’une juridiction supérieure.
En définitive donc, la société AMAOS affirme avec force, que ni le jugement du Tribunal de Commerce d’Abidjan, l’arrêt de la cour d’appel d’Abidjan, celle de la défunte cour suprême (devenue cour de cassation) et l’arrêt des chambres réunies de cette haute juridiction, qui ont consacré de manière définitive la propriété du Groupe AMAOS sur la promotion immobilière Ex CIAD PRIMO, n’ont été, et ne peuvent plus jamais être remis en cause, encore moins par ce jugement correctionnel.
KOUASSI KOFFI FÉLIX (KKF)
Président Directeur Général du Groupe Amaos SA
Chevalier de l’ordre du mérite national
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