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Une grosse catastrophe arnaque et historique s’est opérée, depuis, 2010 et est impunie jusqu’à ce jour de novembre 2021. Une sulfureuse intrusion de la Fesci sous Mian Augustin dans le processus d’indemnisation des victimes des déchets toxiques à l’initiative du cabinet Leigh Day and Co d’octobre 2009 à avril 2011aura fait d’énormes dégâts dans le parcours.
«Je reviendrai, en détail, sur le détournement des 4.658 milliards de FCFA dont ont été auteurs, coauteurs ou complices messieurs Adama Bictogo, Koné Cheick Oumar, Gohourou Claude et autres dans le chapitre relatif à l’instruction de notre plainte portée contre ces derniers devant le procureur de la république. Cette pression exercée par Monsieur Adama BICTOGO sur le cabinet LEIGH DAY donnait lieu à la formation d’un protocole d’accord entre ledit cabinet et cette Coordination fictive. Ce protocole avait pour objet de régir les modalités pratiques dudit processus d’indemnisation.
Ce processus débutait le 1er mars 2010. A la veille du jour de passage de chaque association, les victimes de celle-ci venaient la veille dormir à la belle étoile dans l’espoir d’avoir une meilleure place dans le rang le jour y relatif. Aussi, les éléments de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire dite FESCI venaient-elles rançonner ces victimes à hauteur de 5 mille F CFA individuellement en leur promettant cette meilleure place. Au petit matin, ils disparaissaient pour faire place à leurs pairs qui venaient rééditer le même acte en brandissant le même argument.
Eu égard à ce cafouillage, dame Agnéro, une victime des déchets toxiques a été même mordue par un chien du groupe de sécurité G4S sur le site de cette opération sis à Cocody Danga non loin de la cité Universitaire de la cité rouge de Cocody. Les dernières lettres du cabinet LEIGH DAY destinées aux victimes, à l’effet d’accomplir les formalités d’accès à leur chèque ont été retenues par GOHOUROU Claude et les siens en faisant croire aux concernés que leur dossier a été rejeté par ledit cabinet anglais.
Ayant à travers lesdites lettres toutes les informations et renseignements concernant lesdites victimes, ils ont falsifié des attestations d’identité. Tous ces dossiers ont été ensuite remis à un certain Dester, étudiant résidant à la cité rouge de Cocody. Ce dernier avait pour mission d’apposer sur ces dossiers, outre le cachet de la Coordination, celui de Leigh Day falsifié par les soins du nommé Gohourou Claude. Les chèques des victimes ont été délivrés par un certain Sous-Préfet (paix à son âme) à l’époque des faits, élève fonctionnaire à l’École Nationale d’Administration dite ENA.
Après interrogatoire, ils accusaient tous le nommé Gohourou Claude comme étant le propriétaire desdits documents et objets. Ils furent libérés sur procès-verbal, le 18 mars 2010. Le même jour, le sieur Gohourou Claude fut interpellé par les éléments de la DST. Mais, il nous était revenu que c’était le Commissaire de Police Gogoua Maxime qui aurait répondu en ses lieux et place.
L’arrêt brusque de l’indemnisation des victimes
Eu égard aux perturbations volontaires, quotidiennes et permanentes du processus d’indemnisation par les éléments de la FESCI à la solde de GOHOUROU Claude, Président de cette Coordination fictive, ledit processus a été arrêté le 19 mars 2010 par le cabinet KSK, représentant LEIGH DAY AND CO. Cet arrêt brusque dudit processus par le cabinet KSK, a été dû au constat par ledit cabinet, des malversations qui étaient commises par la FESCI et ladite Coordination dans l’indemnisation desdites victimes.
Cet arrêt a été suivi par la demande faite par ledit cabinet à Gohourou de savoir le nombre de chèques effectivement remis audit jour par sa seule Coordination qui s’était accaparée ledit processus en violation des stipulations du protocole d’accord qui exigeait un processus conjoint de remise de 23 mille chèques à 23 mille victimes sur les 29.624 concernées par cette indemnisation. Suite au refus de celui-ci de faire droit à la requête dudit cabinet, s’agissant du nombre de chèques par lui remis à la date du 19 mars 2010, date de l’arrêt brusque de ce processus, celui-ci a été définitivement arrêté par le cabinet KSK à cette même date et n’a plus jamais repris à ce jour.
Ledit président qui avait à priori refusé de faire droit à la requête desdites victimes motif pris de ce qu’il avait ordonné, le 21 octobre 2009, à la demande de l’association dirigée par GOHOUROU Claude, une ordonnance de séquestre sur lesdits fonds, s’était finalement ravisé à la suite de la vérification des documents desdites victimes à lui déposés à cette fin par elles, à savoir copie de leur CNI, attestation d’identité pour les victimes ivoiriennes majeures, extrait d’acte de naissance et document de puissance paternelle pour les victimes mineures, carte consulaire pour les victimes de nationalité étrangère et leurs documents d’indemnisation à leur remis par le cabinet LEIGH DAY comportant l’insigne dudit cabinet.