Avec un Doctorat Honoris Causa décerné par Cypress International Institute University du Texas, une reconnaissance mondiale pour ses travaux de recherches biomédicales, le chercheur en Sciences médicinales, Docteur Jean-Yves Diamana passe à une autre phase de ses activités. La rehabilitation de la médecine traditionnelle africaine au plan mondial. Interrogé par ledebativoirien.net, il appelle au soutien des gouvernants africains pour la Science Afrique. L’objectif de l’Ivoirien, construire un ensemble visant à se défaire de plusieurs liens…
Dr Jean-Yves Diamana, vous bougez beaucoup, donc vous étiez hors des frontières ivoiriennes, récemment. Qu’est-ce qui était à l’ordre du jour de ce dernier voyage ?
C’est la Science Afrique qui nous a fait sortir. Nous voulons faire comprendre à l’Afrique qu’elle a des potentialités dans le domaine scientifique. Et que l’on peut parler aussi de la biomédecine. Et qu’on peut s’autonomiser dans ce domaine. On peut guérir ces pathologies dites incurables. Il faut bien le dire, et travailler à cela. C’est aberrant, quand j’ai ouïe dire que le premier ministre Konan Banny, après qu’il a été vacciné, est mort de la covid-19. C’est douloureux. J’ai été au Gabon, au Malawi, en Afrique du Sud etc., je veux partager cette espérance de l’Afrique qui doit renaitre. D’une nouvelle Afrique qui a de la valeur. Et que nous avons des potentialités, des valeurs scientifiques. Que nous pouvons faire face à toutes ces pathologies à partir des données naturelles, sur notre continent, dans nos différents pays.
Mais je ne travaille pas pour une Afrique qui veut vivre en autarcie. Mais dire aux autres qu’on peut aider chacun d’entre nous. Dire qu’à partir des plantes africaines, on peut guérir l’américain, l’européen, l’asiatique, l’africain du diabète, de l’hypertension, de l’insuffisance rénale…Il faut partager cette expérience afin que l’anxiété disparaisse et qu’elle fasse place, à l’assurance.
Est-ce qu’en dehors de la Côte d’Ivoire, l’Afrique vous saisit et vous comprend ?
Dans la réalité comme dans le futur, il faut accepter que, lorsque vous défrichez une forêt, au début, c’est difficile, c’est éprouvant. Nous travaillons et sommes accueillis. Nous croyons réveiller une certaine conscience africaine à comprendre que, nous avons des valeurs en Afrique; à comprendre que nous avons des potentialités. Les médias occidentaux présentent une Afrique de misère, mais il y a une Afrique qui gagne. Il y a une Afrique qui va aider l’humanité à avancer. C’est vers cette Afrique que nous allons, pour dire : «sortez, c’est possible, croyez en cela» !
La biomédecine est-elle aussi connue en Afrique comme en Côte d’Ivoire ?
Bien sûr ! Nous ne travaillons pas que, pour la Côte d’Ivoire. A partir de la Côte d’Ivoire nous servons un bon nombre de pays. Ce n’est pas que nous montrons le Groupe Diamana aux autres pays, mais faire comprendre que dans leur pays, ils peuvent faire mieux que le docteur Diamana. Ils ont les potentialités…
Parlons de reconnaissance. Jusqu’à présent, silence radio du côté de ce groupe mythique, Magic système. Où en êtes-vous avec Asalfo, relativement à sa promesse suite à la guérison de Goudé ?
En prélude à la guérison de Goudé de Magic système, Asalfo, leader vocal du groupe m’a fait la promesse disant que, si son ami Goudé était guéri, le groupe Magic système deviendrait l’ambassadeur du groupe Diamana Santé. Moi j’ai fait ma part. Goudé de Magic Système est guéri. Il souffrait de l’hypertension. Je ne dis que, ce qu’il a dit. Cela fait trois ans que Goudé est guéri et moi je fonctionne. Je n’attends personne, je suis un acteur de développement.
Tout développement planifié devient utopique, quand les artisans de ce développement sont malades. Travailler dans la santé, c’est être un grand acteur de développement. Je suis un acteur de ce développement dans la nation et dans l’humanité. Ce ne devrait pas être seulement le Goupe Magic Systèm, mais l’Etat, parce que je suis d’une utilité publique. Quelqu’un a fait une promesse, la preuve scientifique est là, qu’il est guéri. Il faut la lui rappeler : ‘‘vous avez fait une telle promesse’’. L’accomplir dépend de lui. Mais moi, je travaille à redorer le blason de l’Afrique. J’avance !
Cela sous-entend que la Science Afrique que vous développez vous permettra de glaner enfin des lauriers?
Les lauriers, si cela doit venir, c’est d’abord par rapport à mes résultats. La science est une initiative pour que l’Afrique prenne conscience de sa valeur Je suis instigateur de la Science Afrique, pour que les décideurs en Afrique et la masse prennent conscience. On peut éviter des morts en cascade qui décèdent de la covid-19. Alors qu’on peut en guérir avec la BJ12. C’est cela la Science Afrique. Dire que l’Afrique a des valeurs, ce n’est pas que l’Afrique doit se recroqueviller sur-elle-même. Quiconque prêche l’autarcie est un faux artisan Aucune nation ne peut se développer par elle seule. Elle a besoin de brassage et d’autres valeurs. Nous sommes dans un monde ‘‘du donner et du recevoir’’. Je pleure que, mon Afrique ne fait que recevoir, sans vouloir donner. Alors qu’elle a des potentialités. Et dans mon domaine, c’est la Science Afrique, montrer que nous pouvons apporter aux autres.
Vous savez, les gens ont peut parce qu’ils pensent que c’est le sort de Nanan Drobo 2 du Ghana, qui a annoncé avoir découvert le remède contre le Vih/Sida, qui leur sera réservé. Il faut aller vers eux pour parler Science Afrique. Sortir de l’éteignoir et porter sur le piédestal, leurs résultats. C’est ce que nous allons faire.
L’on apprend que vous avez une recette contre le paludisme qui décime les populations africaines, n’est-ce pas une opportunité que les décideurs vous écoutent ?
Vous pensez que le résultat est assez comptable pour qu’ils m’écoutent! Je pense bien que les investissements que nos politiques font, le sont sous la dictée des occidentaux. Je le pense bien. On le fait pour faire plaisir aux occidentaux. On a fait des campagnes médias pour le vih-sida, aujourd’hui c’est la covi-19. Je veux que l’Afrique arrête d’être à la traine des autres.
Je veux que l’Afrique ne soit plus dépendant médicalement vis-à-vis de l’occident. C’est cela! Bien évidemment, cela va nous amener à lutter contre le colonialisme médical. Et je pense que l’Afrique vit jusqu’aujourd’hui, en 2021 sous le colonialisme médical qui veut, qu’il dise ‘‘oui’’ parce que l’occident a parlé, parce que ses firmes ont parlé. Nous n’avons pas à combattre quelqu’un. On a à travailler pour notre autonomisation. Nous ne portons pas de gants pour combattre quelqu’un. Le seul combat à mener, c’est contre les maux qui tuent les hommes.
Avez-vous la force de porter ce combat, docteur Diamana ?
Je pense que je vais avec ma force, comme Gédéon dans la justice. Dieu dans la Bible a dit: «Gédéon vas avec ta force». Depuis quinze ans, je porte ce combat. Je n’ai pas attendu de guérir Goudé de Magic Système pour porter ce combat. C’est possible ! Je n’ai pas attendu de guérir de la covid, gâce à BJ12, ce sirop que Dieu m’a inspiré, chairman NCUMBE du Conseil du Tourisme Africain, pour dire que ce combat est possible. Le combat est-ce qu’il sera attendu ? Cela dépend du président de la République du Sénégal, de la Gambie, du Liberia, du Congo, du Gabon, de la Côte d’ivoire, du Zimbabwe etc., ces Présidents africains que je vais visiter. C’est eux, sinon à mon niveau personnel, c’est possible. J’ai la force nécessaire pour mener ce combat.
Nul n’est prophète chez sois, est-ce votre cas ?
Quelle analyse de laboratoire que nous faisons pour que la Cote d’Ivoire la porte sur le piédestal pour que ce soit une valeur nationale, ce produit? Est-ce que ce monsieur a vraiment guéri Yapi Achi de la prostate ? Oui ! Quelle est la molécule qu’il a utilisée et comment, en tant qu’Etat, en faire une valeur nationale? Et ça, je ne cherche pas une force que celle que Dieu m’a donnée. Je pense que c’est un sacerdoce, je travaille, toujours. Je suis à mon poste.
Est-ce qu’il est, déjà venu à l’esprit du docteur de faire une action d’éclat, comme une grève de la faim pour vous faire écouter du gouvernement ?
Ce n’est pas de mes ambitions. Ce n’est pas des objectifs de faire une grève de la faim. Le seul moment où le fils du royaume observe un jour sans manger, c’est le moment de jeûne. Et le jeûne du chrétien ne consiste pas à aller devant une autorité. Pourquoi aller me mettre devant un ministère pour me faire attendre, quand mes résultats parlent plus qu’une grève de la faim!
Quelles sont les perspectives du Groupe Diamana ?
Je souhaite être dans tous les pays du monde. Ouvrir un shop, avoir des représentations, avoir une activité commerciale qui pourrait représenter le Groupe Diamana. Qu’on nous appelle simplement au 225+ 05 06 39 14 71 pour des relations commerciales. Nous avons atteint le signe de la maturité. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, il nous faut développer, il nous faut nous implanter partout.
Ledebativoirien.net
Par H MAKRE