Une acquisition de terrain qui fait couler beaucoup d’encre. C’est qu’il faut espérer comprendre la brouille entre le vendeur AJAVON Koffi et l’acquéreur Touré Ahmed Bouah. Retour sur une petite affaire qui se déroule à Gagnoa entre l’héritier AJAVON et le patron de Sophia SA. Pas faciles les intrigues!
Voici l’affaire
Bien malin qui saura ce qui a convaincu certaines de ses progénitures à brader un peu, quelques parcelles de ses terres ou autres biens. Peu importe! Mais, il a fallu que ceux-ci croisent sur leur chemin, des terriens. ledebativoirien.net a essayé de pénétrer les parcelles qui commencent à alimenter la chronique entre Gagnoa et Abidjan. Avec un acquéreur qui se presse lentement à se débarrasser de sa dette, cela crée forcement une exaspération et du flou dans la manifestation de la vérité.
Mais, commençons par faire simple ! Gagnoa, capitale de la région du Goh en Côte d’Ivoire s’invite dans le champ folklorique de vente de terrains à pas de sympathisants de l’injustice.
parcours de combattant…
Tout commence en 2019. Alors qu’il fait une annonce de vente de son domaine immobilier, AJAVON Koffi est contacté par un démarcheur répondant au nom de K. Jean Michel. Il dit être employé au sein d’une Société Immobilière dénommée, Société de Promotion de l’Habitat de l’Immobilier et de l’Aménagement-SOPHIA SA. Bingo !
L’homme d’affaires bien connu sur les bords de la lagune ébrié, fixe un rendez-vous chez lui à son ex-domicile, Cocody Angré 8è Tranche, puisque la nouvelle résidence à Cocody Vallon réfectionnée par l’entrepreneur El Hussien, aujourd’hui embourbé dans les pots de peinture, n’était pas encore disponible, à cette époque-là.
Pour mieux le séduire, il lui présente ce jour-là, son parc auto, comme raconte Ajavon Koffi. Halluciné, le jeune entrepreneur, se voyant marcher aux côtés et certainement dans les allures, du patron de ‘‘Akwaba city’’, est en plein rêve. C’est ainsi qu’il ira même laisser, le patron de Sophia-SA décider, le prix du mètre carré de son terrain, puisqu’il se voit déjà adjudicataire de parts de marchés dans le projet immobilier d’Ebempé Anyama. Il croit, sur parole et jusque-là, tout va bien.
Le prix d’achat de la parcelle est fixé par TOURÉ Ahmed Bouah. Le prix du mètre carré est à 1164,59 F CFA par l’acheteur, selon le vendeur. La parcelle étant située au centre-ville à Gagnoa avec un Titre Foncier à la main, le mètre carré devrait être vendu à cinq mille (5000) francs. Ne dites pas que c’est un vrai bradage du terrain.
Le prix d’achat de la parcelle avec Titre Foncier d’une superficie de 249 038 m2 et portant le nom de KOFFI AJAVON a été acquis pour un coût de 290.027.226F CFA. Là où l’autre aurait pu empocher, 1. 245 190 000F CFA (environ un milliard deux cents quarante-cinq millions F CFA). Il a vraiment bradé la parcelle à Touré Ahmed Bouah afin d’acquérir des marchés de son projet immobilier situé à Anyama Ebimpé ou ailleurs.
Malgré l’achat à rabais, le vendeur prendra à sa charge le décapage (aménagement foncier) de la parcelle avec de engins qui lui reviennent couteux par jour de location sans compter le carburant. Mais, il croit en la parole donnée par le patron de Sophia-SA et accepte d’accuser le coup laissant le décapage, plus le prix d’achat ou de vente à, un total de 290.027.226 F CFA (deux cent quatre-vingt-dix millions vingt-sept mille deux cent vingt-six francs CFA). Ils s’accordent qu’à ce stade de l’opération, la moitié de la somme peut être versée.
Le plus beau est à venir
«Des gens que je trouvais dans la salle d’attente me demandent d’être très prudent, car Ahmed Bouah va me fatiguer. Je pensais qu’ils étaient jaloux de lui. Tout le monde avait toujours miné serré ou triste comme dans une salle funéraire à chaque visite. Lorsque je lui dis que les gens boudent beaucoup dans la salle d’attente et il reçoit jusqu’à des heures tardives, vingt-deux heures voir minuit et au-delà, il dit que ce sont des personnes qui sont venus lui demander de l’argent, donc il prend son temps», confie, le jeune chef d’entreprise qui se confie à la rédaction de ledebativoirien.
«Il doit me verser la moitié et l’autre après. Il me fait savoir qu’il va me donner soixante-quinze millions de francs CFA et que dès que je finis la mutation au nom de sa société, il me remettra le reste de mon argent. Je dis à mon Notaire et on signe l’acte de vente TOURÉ et moi. Et quelques mois après, mon Notaire obtient le TITRE de Propriété de Sophia-SA».
Le Certificat de Propriété Foncière au nom de Sophia-SA est délivré. Il reste le paiement pour jouir totalement de l’original du Titre de Propriété, puisque l’acheteur n’a reçu les photocopies. La conservation de Gagnoa est saisie de l’impasse.
Commence alors la tempête des vas et viens, infructueux au Bureau de l’acheteur. Égaré dans ses réflexions, AJAVON fils se met à produire d’énormes courriers adressés aux autorités ivoiriennes. Il veut les alerter sur la situation que lui fait subir, le patron de Sophia-SA.
Il saisit le président du Conseil Economique et Social, Environnemental et Culturel, Aka Aoulé, il parle à dame Désirée Anne Ouloto, ministre de la fonction publique, même le directeur du cabinet du président de la république est saisi pour l’aider, sans oublier le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani, on ne sait trop pourquoi. Ce n’est pas tout, il souffle sa misère au jeune frère du chef de l’Etat, certainement qu’il pourra faire plier le natif de Kolia, il parle donc au ministre de la Défense, président du conseil régional du Tchologo Téné Birahima Ouattara. Il finit par écrire au président Alassane Ouattara. Quelque chose a bougé?
En 2021, l’homme d’affaire patron de Sophie-SA bouge un peu en mettant en mouvement son Avocat, Maître Dadjé Rodrigue, (qui murmure de temps à autres à l’oreille de la première dame Simone Gbagbo), pour que le cédant réceptionne son argent en intégralité. Il s’y rend avec le carton original du Titre de Propriété dans la joie.
Lorsqu’il arrive ce jour-là à Sophia-SA, c’est avec éblouissement qu’il constate la présence de plusieurs personnes aux mines bien froncées et déjà habituées à la salle d’attente. Et selon ses propos, Maître Dadjé Rodrigue lui dira:
Quelques jours après, l’acquéreur change de tactique. Repérant, l’agacement de quelques autorités sur les plaintes du jeune entrepreneur, vendeur de la parcelle de terrain, il sort un magnifique jeu. Il se lie d’une belle amitié avec deux des sœurs du vendeur Ajavon Koffi. Ils mettent en action un ex-Avocat du patron de Sophia-SA. Lequel rédige un courrier à TOURÉ Ahmed Bouah dans lequel il indique que le vendeur Koffi, n’est pas le propriétaire de la parcelle et qu’il aurait pris des parcelles à ses deux sœurs. L’Avocat fait savoir qu’il est l’avocat des ayants droits AJAVON. «Faux» crie, le vendeur. Le courrier comporte un croquis d’un géomètre, présentant toutes les parcelles du père Ajavon. Une belle brèche ouverte pour le beau jeu. Comme si en Côte d’Ivoire, la propriété d’un bien immobilier est attestée par un croquis cadastre avec le cachet d’un géomètre et non, un Titre de Propriété.
«Je dénonce la mauvaise foi et le mensonge. Aujourd’hui je réclame mon argent purement et simplement auprès de Touré Ahmed Bouah. Car Touré Ahmed n’a aucun trouble de jouissance juridique ni physique sur le terrain. Il n’a jamais reçu une décision de justice de qui que soit lui disant que je ne suis pas propriétaire de la parcelle, ni une décision de justice lui disant de ne pas me payer mon argent. Il me doit 155.027.226 F CFA, Cent Cinquante Cinq Millions Vingt Sept Mille Deux Cent Vingt Six Francs CFA», jaillit de sa chaise AJAVON Koffi
Qu’en pense Touré Ahmed Bouah
«Ajavon Koffi n’a pas la propriété exclusive des terrains qu’il prétend avoir à Gagnoa. Ses sœurs et frères lui ont fait une opposition sur les terrains. Donc, les terrains n’appartiennent pas à Ajavon Koffi. Il a tenté de faire croire à Touré Ahmed Bouah que les terrains lui appartiennent. Il voulait abuser de ses sœurs et aussi de Touré Ahmed Bouah».
Puis, une autrefois encore selon qu’ils estiment bien inspirés, les mêmes chargés de la communication du patron de Sopha-SA aoutent simplement : «Il demande à Ajavon Koffi de s’entendre avec ses sœurs. Qu’il vienne avec des papiers pour dire qu’ils se sont accordés et moi je paie si c’est fait. Voici, ce qu’il nous a dit, à la suite d’une réunion qui a duré jusqu’à 1heure du matin», les échanges ont lieu à Treichville.
Pour la petite histoire de succession
Pour comprendre, essayons d’enfoncer l’entrée du labyrinthe AJAVON au ‘‘21 Entrées’’. Devant la dilapidation des biens de défunt père qu’il constate, Ajavon Koffi, se donne les moyens de parvenir à l’objectif : faire bénéficier à toute la progéniture, les biens du père défunt. Il lui faut de l’argent pour cette action. C’est alors qu’en 2005, il postule pour un poste dans une institution internationale humanitaire.
Il est retenu. Malgré une bonne rémunération au sein de ladite institution internationale humanitaire avec un Contrat à Durée Indéterminée, il remet sa démission en 2009. Il perçoit ses indemnités. Il a sa petite idée pour atteindre ses fins. Il se rend au Togo pour y entamer une procédure judiciaire et voir estomper les effets du mariage coutumier que le père AJAVON a contracté avec une togolaise.
C’est ainsi que conformément à la coutume Akan dont le père AJAVON tire ses origines ancestrales, qui a pour principe le matriarcat, il est élevé par sa mère, bassamoise (ivoirienne). Celle-ci fut une grande commerçante de perle et d’huile de palme dans la première capitale ivoirienne, et bien connue à l’époque. Après ses études en France précisément à Marseille où il enseignait la langue française et la musique, le père AJAVON, rentre en Côte d’Ivoire où il crée la première École. C’est ainsi qu’il prend la nationalité de sa mère, ivoirienne.
Après une belle vie, il décède en 1997, laissant d’immenses biens à de nombreux enfants. Aux termes de plusieurs démarches, le fils AJAVON gagne le procès au Togo et fait un exéquatur (reconversion) de la décision de Justice du Togo, afin qu’elle puisse être applicable en Côte d’Ivoire. Décision qui annule le mariage coutumier de tous ses effets en matière successorale. Ainsi, par son action, tous les enfants AJAVON Aman Samuel peuvent désormais hériter de leur père, en Côte d’Ivoire; parce le mariage coutumier n’est pas reconnu en Côte d’Ivoire, dans la succession. Ils sont vingt et un selon une décision de justice d’Abidjan, que ledebativoirien a parcourue.
rachat des parcelles vendues par ses frères
Et ce, après avoir fait l’inventaire des biens, procéder à la vente des biens, apurer le passif, répartir équitablement le fruit restant entre les héritiers. A ce procès, ils ont tous soutenu êtres les enfants du père AJAVON décédé, le 18 Août 1997 à la Polyclinique Avicenne de Marcory, qu’aucun partage n’a été fait, depuis le décès de leur géniteur, dont la succession est constituée de plusieurs biens immobiliers.
Que les comportements répréhensibles de certains héritiers tendent à appauvrir le patrimoine successoral. Que le séquestre désigné n’a pu mener à bien, sa mission. Que la mésintelligence entre les cohéritiers est telle qu’ils préfèrent sortir de l’indivision et provoquer le partage. La Justice accepte.
Ce faisant, Ajavon Koffi, à l’initiative duquel, l’action de justice permet à tous les enfants AJAVON d’hériter de leur père, constate effectivement que des parcelles des terres du patrimoine ont été vendues par ses frères.
A travers sa Société BATIM AKOR Sarl, il part à la chasse de ces parcelles de terrain. Il les rattrape, du moins, quelques-unes. Il met alors face-à-face, ses frères vendeurs des terres avant 2013 et les acheteurs. En 2019, ‘‘heureusement, certains n’ont pas été valorisés encore’’. Il procède à leur rachats à conditions d’obtenir les différents reçus des ventes, de l’époque. Ce qui est fait.
Des reçus délivrés à des acheteurs par Serges Ajavon et Max Ajavon, à la date 22 Janvier 2013 ou du 08 juillet 2013, sont parcourus. Ainsi que des attestations de cession de patrimoine sont parcourues par ledebativoirien. «Je soussigné Ajavon Serge Michel atteste et reconnait avoir cédé à monsieur Kaba Tiémoko, une portion de terre de 5 hectares à 1. 125. 000 FCFA. Ladite cession est définitive et irrévocable. En foi de qui la présente attestation de cession lui est délivrée à toutes fins utiles pour servir et valoir ce que de droit. Fait à Gagnoa la 22 janvier 2013».
Ajavon Koffi, en 2019 procédera, donc au rachat des parcelles vendues par ses frères avec l’émission de plusieurs chèques par sa Société BATIM AKOR Sarl. Les vendeurs sont heureux puisque la valeur des parcelles a évolué. Il devient alors, le nouveau propriétaire des terrains sortis du patrimoine AJAVON, avec constat d’évaluation des biens, par le Notaire désigné par la Justice depuis 2013.
C’est alors qu’en 2019, l’idée lui vient de décider de revendre ses parcelles. Il tombe sur le patron de Sophia-SA. Et là, tout est construit pour ne pas solder la vente. Les frères et sœurs lui offre un procès en l’assignant, ainsi que l’Etat de Côte d’Ivoire représenté par la Conservateur et le Chef du Cadastre en 2019, à Gagnoa. Il remporte les procès parce qu’il rapporte la preuve que ce sont des parcelles vendues par ses frères, qu’il a rachetées avec des personnes qui ne sont pas ‘‘des AJAVON’’.
Ce que dit la décision de justice qui déboute ses frères et sœurs
«Statuant publiquement, contradictoirement en matière civile et en premier ressort ; Déclare les demandeurs AJAVON Serge Michel, AJAVON Gisèle Pascale, AJAVON Deheme Irmine et AJAVON Virginia Emilie recevables en leur action ; Les y dit mal fondés, les en déboute ;
Déclare KOFFI AJAVON recevable en sa demande reconventionnelle ». Il réclamera 1 franc CFA de dommage et intérêt. Un certificat de non appel et d’opposition sanctionnera la procédure. A la suite duquel il lui est établi son Titre de Propriété à son nom. « Puisque le bien est à mon nom j’ai le droit de vendre». Il jouit dès lors des Titres de Propriété.
Il vend ses terrains et Touré Ahmed les rachètent
Au moment des premiers acomptes de la vente, les mêmes frères et sœurs sortent de leur tanière pour réclamer leurs parts. L’acheteur s’engouffre dans la brèche pour ne pas solder l’acompte, laissant croire à l’existence d’un litige sur le terrain. Une convention est proposée à Ajavon Koffi l’invitant à renoncer à ses droits en déclarant que les décisions de Justice obtenues sont nulles de tous leurs effets, afin qu’il partage les sommes des ventes avec ses sœurs. Il refuse en déclarant que les parcelles bien qu’ayant appartenues à la famille ont été vendues par ses frères ainés, donc sorties du patrimoine familial. Elles ont été rachetées, donc devenant dès cet instant, un bien privé et personnel.
Toutefois, une belle confusion est entretenue. Il est AJAVON, chef de l’entreprise qui rachète les parcelles de terrains ayant appartenues autrefois au patrimoine des héritiers AJAVON et vendues par ses frères ainés. L
Les gens font, croire que ce sont les terres de la succession que j’ai vendues. Faux, ce sont des terres vendues par mes frères ainés que j’ai rachetées avec d’autres personnes. Le reste des parcelles de terre appartenant à tout le monde, près de 200 hectares encore sont là. C’est de la mauvaise foi de mes frères et sœurs. Et c’est cela que Touré Ahmed Bouah veut exploiter faisant croire qu’il y a litige sur ces parcelles de 24 hectares que je lui ai vendues pour ne pas me payer ce qu’il me doit…».
Cause d’indisponibilité: mention néant
A l’observation, ledebativoirien note que rien n’empêche le patron de Sophia-SA d’exploiter les parcelles. «Tout ce que j’ai fait, j’ai ordonné à mon Notaire de ne pas lui donner le carton original, du Titre de Propriété au nom de Sophia, car il peut vendre le Terrain et je resterai perdant.
Pour qu’il vende ce terrain, tout Notaire en République de Côte d’Ivoire, même s’il est parent du Notaire, le Notaire lui réclamera l’original du Titre de Propriété. Au cas où il dit que c’est perdu, j’ai déjà informé la Conservation foncière de Gagnoa, qu’il me doit 155.027.226 F CFA au cas où il faisait une annonce par le journal Officiel qu’il aurait perdu le Titre de Propriété de sa parcelle.
Espérant faire revivre en lui, la crainte de Dieu», explique AJAVON Koffi qui réfléchit. Bien arrêté, le TITRE de Propriété de SOPHIS-SA en main, il attend le patron, «car, il me doit encore 155.027.226 F CFA». Ajavon fils refuse l’omerta sur le contentieux pour la réputation des personnalités qui rôdent autour du dossier. Gagnoa retient son souffle…Le couple présidentiel, aussi. Resta à suivre…
Les précisions de la cellule de communication de Touré Ahmed Bouah
« …Loin de nous l’idée d’une quelconque polémique, puisque ce dernier a été traduit depuis décembre 2021 devant le tribunal d’Abidjan-plateau, pour cette même affaire (escroquerie, abus de confiance, dénonciation calomnieuse etc. Ci joint l’acte d’accusation).
PROCES-VERBAL D’AUDITION ET DE CONSTAT – SOPHIA – KOFFI AJAVON 1 (1)
Or, Ajavon Koffi avait déjà encaissé et empoché plus de 155 027 226 millions F CFA sur un total de 290 027 226 millions de FCFA. Face à cette situation, monsieur Touré Bouah, en homme d’affaires prudent, a donc mis en berne le paiement, tout en demandant à Ajavon Koffi de trouver un terrain d’entente avec ses frères et sœurs. Une fois que cela sera fait, que ceux-ci aillent voir son avocat, qui authentiquera, l’acte et le paiement suivra.
D’où vient donc, le fait que le PDG de Sophia refuse de solder sa créance et que pour cela, ce dernier crie sur les toits et traîne le non de Monsieur Touré Bouah partout ? Entre le PDG de Sophia SA et le vendeur indélicat qui a perdu de l’argent ? Qui a roulé qui dans la farine? C’est bien Ajavon Koffi, qui a vendu un bien commun à monsieur Touré Bouah en faisant croire qu’il en était le seul propriétaire.
Et compte tenu du fait que, Ajavon Koffi ne fait que le dénigrer et salir, au risque de me répéter, il répondra de ses actes devant le tribunal d’Abidjan-plateau, dont la plainte a été portée. Tout en vous priant de publier ce droit de réponse dans les mêmes conditions que l’article qui incrimine le PDG de Sophia SA, veuillez recevoir nos salutations » pour le PDG de Sophia SA » », explique le Cellule Communication.
A coup sûr, cette affaire est loin d’être bien comprise et terminée.
ledebativoirien.net
Par HERVE MAKRE