*MON DROIT DE REPONSE AU SERVICE DE COMMUNICATION DE TOURE AHMED BOUAH, Abidjan, le Jeudi 03 Février 2022- KOFFI AJAVON Directeur de Société
A Monsieur le DIRECTEUR du Journal en ligne, LEDEBATIVOIRIEN.
Monsieur le Directeur,
Je voudrais juste faire une précision et un droit de réponse à son service de Communication qui est en train de distraire, voire créer une confusion dans l’esprit de l’opinion nationale dans le seul et unique but de blanchir TOURE Ahmed Bouah face à la roublardise de TOURE Ahmed Bouah dont je suis l’une des victimes.
Monsieur le Directeur, je vous prie de bien vouloir publier dans les colonnes de votre Journal en ligne dénommé ‘’LEDEBATIVOIRIEN’’ ma précision et mon droit de réponse au service de communication de Monsieur TOURE Ahmed Bouah.
Suite à mes vas et vient infructueux dans sa salle d’attente qui était devenu presque mon second domicile, j’ai saisi tous les Ministres de la République de Côte d’Ivoire y compris le Chef de l’Etat et son Directeur de Cabinet pour leur intervention. Mais je n’ai eu aucune réaction. Et TOURE Ahmed Bouah m’a confirmé dans un message whatsapp que, ‘’on ne peut rien lui faire’’ dans ce pays qui est la Côte d’Ivoire et je ne suis pas la seule personne à qui il doit et à qui il a répété cela.
TOURE Ahmed Bouah dit haut fort à qui veut l’entendre que seul Le Président de la République et son Epouse sont les seules personnes dont il a peur et qui peuvent lui créer des problèmes.
En fait TOURE Ahmed Bouah pense m’intimider alors que je suis dans la vérité et le droit. Je suis libre de tous mes mouvements. Je jouis de ma liberté de citoyen tout en respectant mes droits et devoirs de citoyen et je respecte les lois et la justice de mon pays la Côte d’Ivoire.
Que tout le monde peut porter plainte devant n’importe quelle Juridiction. C’est la décision de Justice qui détermine le vainqueur ou celui qui a tort.
La Côte d’Ivoire est un Etat de droit. Partant de ce fait, une simple lettre écrite ne peut jamais se substituer à une décision de Justice. Une simple lettre ne peut jamais annuler un Titre de Propriété Foncier émis par l’administration compétente et à plus forte raison un Titre Foncier.
J’ai gagné mes procès contre mes Sœurs. Lorsque Monsieur TOURE Ahmed Bouah dans ses conclusions affirme que le bien ne m’appartient pas, il va falloir à TOURE Ahmed Bouah peut être par magie prouver à la Cour par des pièces que je ne suis pas le propriétaire. Et non brandir un croquis signé d’un géomètre.
SECUNDO : POINT JUDICIAIRE
TOURE Ahmed Bouah dans ses gesticulations à travers son service de Communication doit s’abreuver de quelques cours de droit qui sont presque gratuits à la Faculté de Droit. Dire que mes Sœurs ont adressé un courrier est un fait. La Côte d’Ivoire est un Etat de droit. Lorsqu’on fait une opposition, on la formule devant une Juridiction compétente qui en rend une décision exécutoire après débats contradictoires. Et surtout qu’une décision a été rendue dans cette affaire suite à un procès avec la comparution de toutes les parties. Lequel procès que j’ai gagné brillamment et assorti d’un certificat de non appel et contestation.
C’est suite aux dépôts des pièces et conclusions de toutes les parties que le Juge, suite à une délibération rend la décision après un débat contradictoire. Si la personne veut, peut s’enquérir alors du plumitif de ladite décision au greffe le même jour selon ses besoins.
Puisque TOURE Ahmed Bouah affirme dans ses conclusions de la citation directe que je ne suis pas propriétaire dans ses allégations fallacieuses empreintes de trafic d’influence, alors nous sommes actuellement au Tribunal. J’ai un Avocat pour ce Dossier malgré que je suis Juriste de formation.
J’espère que Monsieur TOURE Ahmed Bouah démontrera devant la Cour les Pièces ou Documents que je ne suis pas propriétaire dudit bien immobilier. J’ai l’impression que Monsieur TOURE Ahmed Bouah se trouverait sur une autre planète avec d’autres Lois avec des manières irrationnelles de penser. C’est moi à qui il doit, et TOURE Ahmed Bouah s’autoproclame Magistrat et ignore les décisions de Justice qui ont permis d’obtenir mes titres de propriété et celui-ci affirme que je ne suis pas propriétaire de mon bien immobilier qui porte mon nom et que je lui ai cédé.
Mener une action judiciaire contre un tiers ne veut pas dire que la partie demanderesse a gagné le procès. En voulant faire plaisir à leur Patron, le Service de Communication risque de sombrer dans le ridicule, car nous sommes face à un sujet de Droit. Je leur demande beaucoup de retenu, d’apprentissage en Droit et de ne point sombrer dans le populisme arrogant face un sujet de Droit que ledit service ne maitrise pas du tout comme je le constate d’ailleurs.
Aucune inscription d’indisponibilité n’a été mentionnée sur ledit bien immobilier. Aucun trouble de jouissance physique n’existe sur le bien et le bien immeuble est au nom de SOPHIA SA actuellement. Et mon argent contre le Titre de Propriété de SOPHIA SA.
TERTIO : POINT COMPTABLE
Dans une transaction immobilière, les honoraires du Notaire sont payés et les frais relatifs à l’enregistrement de l’acte de vente et autres frais sont supportées par le Vendeur et l’Acheteur (les deux parties).
Supposons que j’accepte cette injustice et j’accepte de prendre l’anormal pour le normal; les trente millions sont défalqués sur mon compte pour payer la part de SOPHIA SA relative au frais et honoraire du Notaire pour SOPHIA, disons toujours dans cet univers d’acceptation de l’anormalité, SOPHIA SA du Prince intouchable TOURE Ahmed Bouah ne paie alors donc rien pour cette transaction. Mon œil !…….
En acceptant cette injustice, voir cette anormalité, nous faisons le récapitulatif suivant : 50.000.000 FCFA + 30.000.000 F CFA + 75.000.000 F CFA + 10.000.000 F CFA = 165.000.000 F CFA.
DONC IL VA DEVOIR ME RESTER :
290.000.000 F CFA -165.000.000 FCFA = 125.000.000 F CFA
Monsieur le Directeur de Publication, dans l’espoir que VOUS publierez ma précision et mon Droit de Réponse au service de communication de TOURE Ahmed Bouah, recevez l’expression de mes sentiments distingués», termine l’intéressé KOFFI AJAVON.