Les épreuves du Brevet de Technicien Supérieur-BTS session 2022 ont démarré en Cote d’Ivoire, avec le lancement officiel de celles-ci par le ministre de l’Enseignement Supérieur, Pr Adama Diawara à Abidjan dès 7 heures 30 minutes dans une université privée de son choix, ce lundi 18 juillet.
Au niveau des 10 filières tertiaires, 69,22% des candidats et au niveau des 23 filières industrielles restant, 30,78% des candidats. Les écrites vont se dérouler sur quatre jours, de ce lundi 18 juillet au jeudi 21juillet 2022 », indique le ministre de l’Enseignement Supérieur, Adama Diawara, au lancement de l’épreuve dans une université privé de son choix, à Abidjan.
«L’essentiel pour nous est de mettre à la disposition du marché de l’emploi, des Techniciens supérieurs de valeur, de qualité qui peuvent contribuer de façon très efficace au développent économique et culturel de la Côte d’Ivoire…», indique le ministre Adama Diawara chargé du lourd fardeau de mettre à disposition de la Côte d’Ivoire, des compétences avérées à la suite des différentes épreuves et tests auxquels sont soumis tous les candidats répondant de son département, en la matière.
Propos (1) du Ministre de l’Enseignement Supérieur Diawara
En ce qui concerne la lutte contre la fraude dans cette épreuve-ci, le ministre rassure que ce sont plus de 6 400 surveillants aux côtés du contrôle électronique qui sont mobilisés, c’est-à-dire, des caméras dans certaines salle et des détecteurs de métaux de sorte que certains candidats ne dissimulent de portables téléphones contenant les corrigés des épreuves.
Au cours de cette première journée du début de l’examen du BTS, le ministre Diawara ne manquera pas de rassurer les candidats, en qualité père et ainé : «Ne vous précipitez pas. Lisez et relisez les épreuves. Ce sont des exercices que vous avez déjà vu en salle. Bonne chance !». Des paroles qui ont détendu ces jeunes candidats véritablement stressés, à l’observation.
Car, le contenu des cours sera désormais en adéquation avec le marché de l’emploi. « Tout ce processus sera achevé au plus, dans 1 an, soit en 2023 », indique le professeur Adama Diawara, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
Les propos (2) du ministre du ministre de l’enseignement supérieur
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H. Makré