Il met en application sa vision pour le football camerounais. Ici les explications d’un proche du président de la Fédération camerounaise de football (FÉCAFOOT), Samuel Eto’o sur la décision de rompre de manière unilatérale avec l’équipementier français, qui certainement mettra au grand jour le contrat tant dénoncé.
Le partenariat FÉCAFOOT et Coq sportif est une histoire rocambolesque que les responsables de la Fédération camerounaise de football ne veulent pas ébruiter pour le moment. C’est une mafia qu’on demande à l’équipe de Samuel Eto’o de couvrir. Mieux, d’accepter en silence.
(…) FÉCAFOOT versus Seydou Mbombo a signé avec le Coq en contrepartie de la fourniture des équipements aux différentes catégories des équipes de foot de notre pays, et d’un financement annuel qui s’élèverait à 250 millions de FCFA ; le montant n’est pas officiel.
Lorsque la nouvelle équipe arrive à la FÉCAFOOT, il n’y a pas de trace du contrat avec l’équipementier. Elle demande au Coq sportif de lui communiquer une copie. Refus sec, au motif que l’actuel président n’est pas le signataire du
« La FÉCAFOOT accuse entre autre son partenaire de : Dissimulation du contrat ; Refus d’honorer le versement des 250 millions du contrat dévoilé par un staff de l’ancienne équipe;
Refus de donner les équipements à notre équipe féminine qui a disputé la CAN au Maroc en juin-juillet dernier avec les maillons des juniors, des maillots bien plus grands que leur taille.
Là où le film est digne de mafia sicilienne, c’est que le Président de la FÉCAFOOT écrit à Coq sportif dès sa prise de fonction, pour faire le point et commander les équipements de la Coupe du monde. Surprise renversante: la direction du Coq aurait envoyé une proforma avec des prix de maillots et de short.
Une idée des prix communiqués par le Coq? Le short à 60€ environ 39000Fcfa ; le maillot à 140 €, 91000Fcfa et les chaussettes à 50€, 31500Fca, l’unité chacun. Un ensemble porté par un joueur à 161.500FCFA.
La FÉCAFOOT va découvrir dans la foulée que son partenaire vendrait des maillots et équipements des Lions dans des magasins en Europe et ne reverserait rien à la fédération.
Il faut rompre les bêtises et trouver un vrai équipementier qui pourra, comme Puma, donner au moins un milliards FCFA chaque année, et suffisamment d’équipements pour nos équipes» reprennent en cœur les responsables de la FÉCAFOOT. Le procès aura lieu avec un nouveau contrat
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