« La Côte d’Ivoire au Conseil des Nations unies de 1960-2019 » est l’ouvrage co-écrit par Alcide Djédjé et Alexandra Novosselof pour rendre hommage aux leaderships de la communauté internationale et d’Alassane Ouattara dans la préservation de la paix en Côte d’Ivoire.

La présentation et la dédicace du livre a eu lieu jeudi 22 septembre 2022 à Abidjan en présence de plusieurs illustres personnalités du monde diplomatique et politique en Côte d’Ivoire.

Qui veut connaître ce qu’a fait la Côte d’Ivoire au Conseil des Nations Unies de 1960 à nos jours, doit se procurer cette œuvre. Car, ce livre retrace en 4 chapitres la présence de la Côte d’Ivoire aux Nations unies. Premièrement, il évoque les trois mandats du pays au sein du Conseil de sécurité des Nations Unies de 1964 à 1965, de 1990 à 1991 et de 2018 à 2019. Deuxièmement, il est revenu sur le processus de l’élection de la Côte d’Ivoire aux Nations Unies.

Une élection où Alcide Djédjé a été très actif lors de la campagne. Troisièmement, il s’agit de la présidence de la Côte d’Ivoire au Conseil de sécurité en 2018. Au cours de cette présidence, la Côte d’Ivoire, sous le management d’Alassane Ouattara, a su faire sienne l’axiologie diplomatique, « la Côte d’Ivoire ami de tous, ennemi de personne » dans le but de préserver ses relations internationales dans ses prises de position.

Quatrièmement, c’est le mandat ivoirien de 2018-2019. Le vécu de ce mandat a permis à Alcide Djédjé d’apprécier à sa juste valeur, le leadership d’Alassane Ouattara pour le maintien de la paix en Côte d’Ivoire. Et enfin, chef de la diplomatie dans le régime de Laurent Gbagbo, il était opposé aux décisions des Nations Unies depuis la rébellion de 2002 jusqu’à la crise post-électorale de 2010. Mais, finalement, ce sont les Nations Unies qui l’ont secouru le 12 avril 2011.

Alors, Alcide Djédjé réalise que le leadership des Nations Unies est à saluer. Et l’attitude pacifique d’Alassane Ouattara après la crise post électorale a favorisé aussi le retour de la paix en Côte d’Ivoire. Ainsi, Alcide Djédjé peut soutenir qu’ « On ne peut sortir d’une crise dans un pays sans l’assistance de la communauté internationale (Nations Unies, UA et CEDEAO, ndlr) et la volonté politique des autorités du pays en question ».

C’est cette maxime qui a motivé, en partie, Alcide Djédjé à sortir ce livre avec madame Alexandra Novosselof, chercheur dans une université occidentale.

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H.KARA

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