Il y a vingt-neuf ans le père fondateur de la nation disparaissait. Mais un hommage avec deux grandes dames l’on fait revivre dans les cœurs des ivoiriennes et ivoiriens à la date anniversaire de son décès.
Le samedi 5 décembre 2020 côte à côte, Thérèse Houphouët-Boigny et Henriette Bédié ont vécu le souvenir du grand homme. Et là sous le regard d’un serviteur de l’Eglise de Dieu, le père Éric Norbert Abekan.
Le prêtre racontera l’homme d’État dans ses derniers jours et dans ces grandes réalisations. Il a voulu sa nation grande et unie, son peuple riche et prospère en cela il a investi de sa personne pour faire un lègue spirituel et historique à la côte d’ivoire et au monde, précisera le prêtre.
L’église méthodiste avec son grand temple du Plateau, la grande mosquée d’Abidjan au Plateau, la prestigieuse Basilique Notre Dame de la Paix de Yamoussoukro, sont quelques grandes œuvre de cet ami du pape Jean Paul II. Félix Houphouët-Boigny a prôné la paix comme un véritable comportement et non un vain mot
Il a toujours poussé l’intérêt global de sa nation une et forte. Toujours être au service de la Côte d’Ivoire et au-delà de ses forces et de sa vie. C’est ce grand homme qui n’a pas voulu rester en Suisse au plus haut de la maladie mais a exigé avec conviction le souhait de s’éteindre au milieu des siens : «Je veux rentrer à Yamoussoukro…».
Un infatigable chantre de la paix que deux grandes femmes appuyées par toutes les femmes de Côte d’ivoire, du nord au sud, de l’Est à l’Ouest jusqu’au centre, ont honoré en cette date anniversaire de séparation. Mais toujours présent au sein de la nation ivoirienne, . Lui, le père de la Côte d’Ivoire moderne.
ledebativoirien.net
Céline M’boukou
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