Qui a pesé de tout son poids?
Ce qui va suivre est un vrai épisode en temps réel ‘‘des coups de la vie’’ comme en raffolent les téléspectateurs ivoiriens et même, d’ailleurs. Mais cette fois, en version réelle se déroulant et tourné sur les bords de la lagune ébrié, dans la capitale économique ivoirienne en perpétuelle transformation sous la conduite du leadership du Président Alassane Ouattara.
Il sera informé de cette affaire renversante, par où qu’on la prenne avec une justice ivoirienne ébahie de ses propres exploits, dans le dossier. Une confiance trahie ? Ou un traquenard fatal à une meilleure amie ? ledebativoirien.net vous plonge dans une intrigue de la vie d’une villa N°4 la Riviera 3.
L’histoire renversante d’une villa entre deux meilleures amies au monde
Il peut arriver que des amies s’aimant bien puissent se faire de fortes confidences conduisant même à la cession de biens. L’histoire de deux amies, Dibi Amlan Rita et Pierrette Adam’s. C’est que, courant 2000-2001, dame Koblavi Dibi Amlan Rita s’offre une villa duplex issue de l’opération immobilière Country Club sise à Cocody Riviera 3. Elle la met par devant Me Christiane Bitty Kouyaté, notaire à Abidjan au nom de son amie D’ALMEIDA PIERRETTE épouse DUARTE (artiste chanteuse) et là, pour des raisons personnelles.
Koblavi Dibi Amlan Rita est directrice de société immobilière, SCI Anaulice. Le 24 octobre 2001, ayant totalement payée l’immeuble, elle reçoit les clés de la villa N°4 acquise dans l’opération de la Société SCI Koumassi Lagune 2, à prix 85 millions francs CFA.
Le Procès-verbal de réception et de remise des clés indique : « A partir de ce jour, je prends donc possession sans formuler aucune réserve sur l’état de la livraison de la maison.
J’assurerai personnellement le gardiennage de ma villa ainsi que le nettoyage du trottoir devant celle-ci dégageant formellement la responsabilité de SCI Koumassi Lagune 2 pour tout dégât qui pourrait intervenir par la suite…». Elle fait de sa meilleure amie propriétaire de cette villa. Plus loin, elle précisera son acte et sa démarche. La Côte d’Ivoire vit successivement de graves crises : 1999, 2002 et encore 2011. L’accalmie revenue, courant 2013 elle revient voir sa meilleure amie pour reprendre sa villa. Elle est invitée à sortir d’un sommeil.
La garde de sa maison à sa meilleure amie
Ayant depuis de longues dates intégralement payé le prix de la vente de la villa d’un montant de 85 millions Francs CFA, comme le montre les reçus de payement à la banque BICICI, les factures de la CIE, SODECI datant de 2000-2001, le tout à son nom, Koblavi Dibi Amlan Rita revient voir les époux Duarté qui doivent lui signer l’acte de vente portant sur le bien Immobilier afin que la propriété dudit bien lui soit transférée.
Les époux Duarté résident plus fréquemment en France ou à Dakar au Sénégal. L’époux Duarté sachant que c’est de bon droit de restituer le bien à son propriétaire initial donne procuration et tous pouvoirs à dame D’ALMEIDA PIERRETTE ROLANDE, son épouse dite Pierrette Adam’s, de signer le contrat de vente, disons de restitution.
Dame D’ALMEIDA (Pierrette Adam’s) de ce fait commet Maître Christiane BITTY-KOUYATE, Notaire à l’effet de rédiger l’acte de vente. Ce choix n’est pas fortuit.
C’est par devant elle que sa meilleure amie DIBI RITA faisait d’elle, propriétaire de la villa. Depuis, 2013, le Notaire s’est acquittée de sa tâche et dame Koblavi DIBI RITA (propriétaire de la villa) s’est acquittée également de l’ensemble des frais de l’acte notarié.
Le projet d’acte de vente est de ce fait disponible à l’étude du Notaire pour être signé par les parties. Mais, on ne sait trop pour quel motif valable, la grande artiste, dame D’ALMEIDA PIERRETTE ROLANDE épouse DUARTE (Pierrette Adam’s) a fait volteface.
Ne dites pas qu’elle a muri quelque chose sous le crane ! Durant toutes ces années, la villa est mise en location et elle consent, toujours à reverser les loyers à Dame KOBLAVI DIBI RITA malgré sa réticence à parfaire la vente. Cette dernière, à ce jour est empêchée d’avoir la propriété de la villa.
En 2014, elle saisit alors le Juge des Référés à enjoindre à dame D’ALMEIDA PIERRETTE ROLLANDE de signer l’acte de vente rédigé par Maître CHRISTIANE BITTY-KOUYATE.
10 ans devant le Juge
2014, convoquée devant le tribunal de Première Instance du Plateau Abidjan, dame D’Almeida Pierrette Rolande épouse Duarté soulève In Limine Litis l’incompétence de la juridiction des référés pour connaître cette demande, faisant prévaloir les dispositions combinées des articles 221 et 226 du code de procédure civile, qui prescrivent en substance que le juge des référés n’est compétent que pour prendre des mesures provisoires ne touchant pas au fond du droit.
Bien tenue dans ses bottes, l’artiste regardant le visage de sa meilleure amie explique que, l’obliger à signer le contrat de vente en l’espèce amènerait nécessairement le Juge des référés ‘‘à la déposséder de sa propriété immobilière ‘‘ en occultant le fait qu’elle n’a pas consenti à vendre ledit bien à la demanderesse, son amie KOBLAVI DIBI RITA.
L’artiste soutient que sa meilleure amie ne pourrait lui réclamer que des dommages et intérêts au lieu de la contraindre à la signature d’un acte auquel elle n’a pas consenti. Et que, le seul fait pour monsieur Duarté, son époux, de lui avoir donné procuration pour vendre leur bien immobilier ne saurait signifier qu’elle-même consent à une quelconque vente dudit bien.
Elle est sûre de son affaire bien murie. Alors qu’il est question, ici pour le juge des référés de faire cesser une situation inexplicable, injuste, créant un trouble manifestement illicite. Il est question de mettre un terme à une résistance qui, à la longue risque de porter gravement préjudice aux intérêts des parties ne pouvant être laissées sans protection.
La Notaire ébahie parle
Pour mieux saisir cette affaire, Maître Christiane BITTY-KOUYATE, le Notaire décide de parler. Elle fait observer au Juge, qu’elle a rédigé le projet d’acte de vente portant sur la villa litigieuse à l’initiative de dame D’ALMEIDA PIERRETTE ROLANDE épouse DUARTE. C’est-à-dire, à la demande de l’artiste Pierrette Adam’s elle-même.
Elle confirme également que les frais de l’acte notarié ont été payés convenablement par la propriétaire de la villa dame KOBLAVI DIBI RITA. Que celle-ci et dame Duarté ont convenu de régler le prix de la villa hors sa comptabilité. La notaire soutient avec étonnement sa surprise de constater que sa cliente refuse de signer l’acte de vente en cause.
Le Tribunal de Première Instance décide :
Ainsi, le 6 novembre 2014, le Tribunal de Première Instance d’Abidjan Plateau ordonne-t-il à dame D’ALMEIDA PIERRETTE ROLLANDE épouse DUARTE, connue artistiquement comme, ‘‘Pierrette Adam’s’’, de signer ‘‘immédiatement et sans délai’’ un acte de vente rédigé par Maître CHRISTIANE BITTY KOUYATE, notaire. L’acte porte sur la villa N°4 îlot 2 de l’opération immobilière « COUNTRY » Club sise à la Riviera 3.
« (..) Constater que dame D’ALMEIDA PIERRETTE ROLLANDE épouse DUARTE a reçu procuration de son époux pour signer l’acte de vente au profit de dame KOBLAVI DIBI AMLAN RITA; Constater que le projet d’acte de vente est prêt et disponible à l’étude du Notaire commis depuis 2013
Ordonner en conséquence à dame D’ALMEIDA PIERRETTE ROLLANDE épouse DUARTE de signer immédiatement et sans délai l’acte de vente rédigé par Maître CHRISTIANE BITTY KOUYATÉ portant sur la Villa N°4 ilot 2 de l’opération COUNTRY Club sise à la Riviera 3 et ce, sous astreinte comminatoire de 5.000.000 Francs CFA par jour de retard à compter du prononcé de la décision ». Rien ne bougera. Elle résiste et fait appel de la décision.
La Cour d’Appel, 2015 décide :
Le 13 novembre 2015, la Cour d’Appel saisie par l’artiste, confirme la précédente décision dans l’Arrêt N°587 au profit de dame KOBLAVI: « (…) Il est clair que dame D’ALMEIDA épouse DUARTE elle-même a mandaté Maitre CHRISTIANE BITTY KOUYATE à l’effet de dresser un projet d’acte de vente de la villa litigieuse au profit de dame KOBLAVI DIBI AMLAN RITA:
Il est également acquis qu’avant de formaliser l’acte authentique, Monsieur FLORENTIN MANUEL ADOLPHE DUARTE l’époux en bien commun de la défenderesse par acte notarié dressé par les soins de Maitre MARIE AGNES FIXOIS, Notaire à Louvres (France), a donné procuration à dame D’ALMEIDA épouse DUARTE pour vendre ‘Immeuble querellé à la demanderesse. Cette procuration démontre à suffisance que les époux DUARTE et dame KOBLAVI DIBI AMLAN RITA se sont accordé sur l’immeuble à vendre de même que sur le prix de vente.
Dès lors, la réticence de dame D’ALMEIDA épouse DUARTE à parfaire la vente à laquelle son époux et elles ont consenti librement, atteste à suffisance de sa mauvaise foi et constitue manifestement une voie de fait à laquelle la justice se doit de mettre fin urgemment.
Le Tribunal enjoint dame D’ALMEIDA épouse DUARTE de signer l’acte de vente portant sur l’immeuble litigieux, disponible à ‘étude de Maître CHRISTIANE BITTY KOUYATE, Notaire à Abidjan sans délai ». Depuis cette condamnation, que s’est-il passé ?
2019: direction, Cour de Cassation, changement de l’histoire et, version 2
Le beau coup est à venir. D’ALMEIDA épouse Duarté saisit la Cour de Cassation à l’effet de casser l’arrêt N°587 du 13 novembre 2015 rendu par la Cour d’Appel au profit de dame Koblavi Dibi Amlan Rita.
Elle soutient devant la Présidente d’alors, le magistrat hors hiérarchie Chantal Camara (aujourd’hui présidente du Conseil Constitutionnel) qu’effectivement, courant 2001, dame Koblavi Dibi Amlan RITA a acquis une villa duplex issue de l’opération immobilière Country Club sise à Cocody Riviera 3. Et qu’elle lui a cédé ladite villa par devant Me Christiane Bitty Kouyaté, notaire à Abidjan. Qu’elle et son époux déménageant à Dakar au Sénégal ont confié l’immeuble à son amie, dame Koblavi Dibi Amlan Rita.
Que, quelques années plus tard, celle-ci propose au couple de racheter la villa à 85 millions francs CFA (En réalité, le prix de la villa, payé à la société immobilière par dame Koblavi Dibi Rita). Qu’ayant donné son accord, le couple commet le notaire Me Christine Bitty Kouyaté pour conclure la vente (la notaire par devant laquelle, son amie a mis la villa en 2005 à son nom).
Mais, elle continue, qu’ayant découvert plus tard que dame Koblavi DIBI RITA a mis la villa en location pendant plusieurs années et qu’elle utilise les revenus locatifs de ‘‘leur villa’’ pour racheter ledit immeuble, le couple Duarté renonce à la vente estimant que celui lui cause un énorme préjudice. Et que c’est à partir de ces faits que Dame Koblavi DIBI RITA a saisi le Juge des référés pour obtenir d’elle, la signature de l’acte notarié de vente. Ce qu’elle refuse. Un argumentaire qui séduit la Cour de Cassation ?
Toujours est-il qu’au vu du tableau peint pas l’artiste, «la Cour ne peut ordonner la signature d’un acte de vente dont l’existence même est contestée, que le moyen étant ainsi fondé, il y a lieu de casser et annuler l’arrêt attaqué… Par ces motif ; casse et annule l’arrêt N°587 rendu le 13 novembre 2015 par la Cour d’Appel d’Abidjan». Jugement Grosse Cassation Arrêt N°288/19, audience publique du 9 mai 2019, pourvoi du 23 mai 2016. Victoire !
Révolte chez Koblavie DIBI RITA qui revit les évènements
la villa est mise en vente en 2024
«… C’est une sœur même. Je suis marraine de son fils qui est né en 1989 si je ne me trompe pas. Donc 1989 cela fait 34 ans. Elle est marraine de ma fille qui a 25 ans. Donc on était vraiment très liée. On faisait vraiment tout ensemble. Moi j’étais mariée à monsieur Amoussou qui était très lié à son mari, DUARTE. Donc c’était la famille ». Des souvenirs.
« Il y a eu la guerre ici en 1999, on est tous partis, en France. Moi je suis partie avec mes enfants. Elle aussi est partie avec ses enfants là-bas. Et en 2002, il y a eu encore la crise, ils ont délocalisé Marlboro à Dakar. Son mari était le patron de Marlboro. Moi j’ai deux maisons ici. Il y a celle que j’habite et l’autre en location, que j’ai achetée sous le nom de SCI ANAULICE créée avec le père de mes enfants. C’est l’une de villa N°4 de l’îlot 2 de la cité Country Club, sise à la Riviera. Je l’ai achetée en 2000 avec l’opération de la société SCI Koumassi Lagune 2. Les clés m’ont été remises le 24 octobre 2001.
En 2005 quand Pierrette est revenue, je lui ai dit que je veux mettre l’autre maison, en son nom. On est parti chez le notaire Christiane Bitty. Et j’ai mis en son nom et j’ai payé les frais du notaire. J’étais en instance de divorce, donc, je lui ai dit que je préfère mettre son nom sur la maison pour que je puisse protéger çà du bien commun, puisque c’est moi qui l’ai payée. C’est comme ça que je mets au nom de Pierrette. Et c’est moi encore qui paye tous les frais chez le notaire pour mettre çà en son nom.
En 2011, je lui ai dit que je veux reprendre ma maison. On va chez le notaire Maître Bitty pour mettre en mon nom. Maître Bitty lui demande si elle est mariée sur la communauté de bien commun et elle dit oui. Alors Me Bitty lui dit qu’il faut que son mari envoie une procuration.
Me Bitty m’établit les frais qui s’élèvent à 14 millions de francs CFA que j’ai payés. Après la procuration de transfert arrive. Puisqu’on a appelé son mari. Son mari envoie procuration de mutation et on ne la voit plus venir signer la mutation. Je lui dis comme la procuration est là viens on va aller signer. Pierrette n’est plus jamais revenue. Elle a pris son avion et elle est partie.
Un matin je suis là, je vois des gens qui font des travaux de la maison. Je m’approche, ils disent que c’est Mme DUARTE Pierrette qui leur a dit de venir faire les travaux.
Je l’appelle et elle me dit qu’eux, ils ont récupéré en tout cas la maison. Quand je l’appelle elle ne décroche pas. Puis elle me dit devoir avec son mari. Et jusqu’à présent, rien n’a été fait. C’était la confiance que j’avais en elle. C’est un abus de confiance.
Au tribunal, on me dit pourquoi il n’y a pas eu d’écrit entre nous pour dire que c’est pour moi la maison. C’est mon amie et donc c’était un arrangement entre nous. L’acte notarié porte son nom, pour arranger une situation que je vivais dans mon couple. Quand on met en son nom, c’est moi je paye les frais du notaire, mais j’ai mon nom sur les premiers papiers d’achat de la maison.
Koblavi DIBI RITA n’est pas au bout des surprises: « C’est ma maison »
« Sur le procès-verbal de remises des clés en octobre 2001, c’est mon nom. Il y a mon nom sur les papiers d’achat avec l’entreprise immobilière. La BICICI où on a payé la maison, c’est mon nom. C’est moi qui fais le chèque, c’est à mon nom. Prise de contact de mise en valeur, c’est en mon nom. Même pose SODECI et CIE, c’est en mon nom. Aux impôts, je suis allée déclarer, c’est en mon nom. Donc j’apprends aujourd’hui qu’elle veut vendre la maison.
Je ne sais pas comment elle s’est arrangée, mais on a découvert en mars 2014, qu’elle a eu un Certificat de Mutation de Propriété foncière, montrant qu’elle, demeurant à Dakar a acquis de la SCI KOUMASSI LAGUNE 2 suivant acte de vente de Me Bitty Kouyaté Christiane dès le 18 octobre 2005 et 17 mars 2006 la villa. Ma maison, l’immeuble Titre foncier N°88661 de Bingerville/Riviera du lot 4, ilot2.
Alors que c’est en 2000 que j’ai payé cette maison. Et en 2005, les dates qu’elle évoque, sont celle de l’année à laquelle j’ai mis la villa en son nom en tant que mon amie. Depuis, c’est elle qui encaisse et m’envoie l’argent des loyers.
Si ce n’est pas ma maison, pourquoi elle m’envoie les loyers payés. Elle a changé. Mon dernier chèque qu’elle m’a donné c’était depuis avril 2014…J’ai voulu reprendre ma maison elle s’y est opposée. Aujourd’hui elle veut la vendre. Elle a changé. Pour ce que j’ai fait Pierrette a été méchante…».
Contactée le 15 janvier 2024 D’ALMEIDA ROLANDE PIERRETTE épouse DUARTE dit Pierrette Adam’s parle
« Bonjour M….Merci pour vos bons vœux et vous souhaite en retour une excellente année 2024. Je vous remercie pour votre professionnalisme en venant demander ma version des faits, croyez-moi j’en suis rassurée.
Cette affaire a été jugée en cassation depuis 2019, que j’ai gagnée (grosse ci-jointe) je ne comprends pas pourquoi elle court les médias alors que j’ai toujours mis le bien en location sans problème et là que je veux le vendre elle réapparaît, c’est quoi le projet. Veuillez svp lui demander qui a gagné le procès en cassation (dernier recours). En vous remerciant à nouveau. Cordialement ». Voilà !
Les procès et la touche des amis politiciens ?
Lors des audiences, aucun document d’achats n’a été produit par l’artiste.D’autant qu’en Cassation, le fond n’a pas été attaqué. S’il n’y a pas de nouveaux éléments, la décision en Première Instance est confirmée en Appel et la même décision en Appel est logiquement confirmée en Cassation.
Comment l’artiste est-elle parvenue à ses fins ? Un rapprochement avec des hommes politiques du régime et non des moindres a-t-il suffi pour cet exploit ? Les Ivoiriens ont constamment vu l’artiste en compagnie des tenants du pouvoir actuel. Ce rapprochement a-t-il été pour beaucoup, dans la prise de décision de la Cour de Cassation qui a finalement tranché en faveur de la star africaine ? Difficile de dire qu’il n’y a juste qu’un pas entre la politique et la Justice en Côte d’Ivoire.
L’histoire de la villa N°4 villa N°4 îlot 2 de l’opération immobilière « Country Club » est loin d’être terminée. C’est l’entreprise ‘’SERVI’’ qui est en 2024 chargée de la vente. Le Conseil d’Etat est en alerte avec une artiste qui fredonne les airs de victoire. Si ce n’est une violente gifle !
Ledebativoirien.net
HERVE MAKRE
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