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Affaire créanciers de Touré Ahmed Bouah : les fadaises du Sercom du Pdg de SOPHIA SA-le pôle pénale économique et financier redouté

Une terreur dans les terres et dans l’immobilier ivoirien ! Le public a certainement  parcouru avec un certain intérêt les affirmations contenues dans  un droit de réponse de la direction de communication du PDG  de SOPHIA SA,  Touré Ahmed Bouah,  adressé  à la rédaction de ledebaticoirien.net et publié par celle-ci le vendredi 10 mai 2024.

Nous sommes  ici dans : ‘‘ L’affaire opposant le PDG de la société immobilière SOPHIA.SA, M. TOURE Ahmed Bouah, par ailleurs, promoteur du projet Akwaba City Ville Nouvelle, à Ajavon Koffi’’, porte-parole du ‘‘Collectif Véritable des Créanciers de TOURE Ahmed Bouah (CVC-TAB)’’.

A la lecture de la note publiée, le service de communication  de SOPHIA SA et Touré Ahmed Bouah soutient qu’il est question ‘‘d’une véritable campagne de dénigrement, doublée d’un acharnement contre TOURE Ahmed Bouah’’ entreprise  par la rédaction’’.

Sauf que, la rédaction n’a pas créé de série d’affaires portant sur le PDG de SOPHIA SA, Touré Ahmed Bouah. C’est l’actualité de SOPHIA SA et son PDG aux prises à des créanciers dont les actions posées de part et d’autre font l’objet de publications dans  les médias. Ce sont des faits et non des  inventions de la rédaction de ledebativoirien.net.

Toutefois, nous pouvons simplement replonger dans le contexte. C’est en novembre 2021 que la  rédaction de ledebativoirien.net a été saisie simultanément des conflits opposant Touré Ahmed Bouah, PDG de SOPHIA SA à messieurs :

d’une part, EL SOUKIEH HUSSEIN, qui s’est présenté à notre rédaction  comme un entrepreneur qui fait l’objet de menaces, dès sa réclamation du reliquat de 374.550.000FCFA sur 900 millions FCFA portant sur les travaux effectués pour  la rénovation de  la résidence  principale de PDG de SOPHIA SA Touré Ahmed Bouah et la construction du bâtiment annexe. Nous n’en savions rien.

D’autre part, AJAVON KOFFI, qui confie aussi  à la rédaction avoir procédé à  une  opération de vente d’une parcelle de terrain de 24 hectares au PDG de SOPHIA SA, TOURE AHMED BOUAH. Il dénonçait une expiration de la part de l’acheteur sans avoir payer les droits de cession de sa parcelle de terrain sise  à  Gagnoa. La rédaction n’en savait rien. Ce sont les plaignants  qui  ont  porté ces  informations à  sa connaissance en dénonçant par l’acte, ce dont ils sont les victimes.

Pour le début du traitement du dossier

Nous saisissons le mis en cause par courrier réceptionné  par ses services, le 17 novembre 2021, pour en savoir d’avantage sur ces affaires, dans le souci de l’équilibre de l’information. Nos diverses publications  auront permis à Touré Ahmed Bouah de se rapprocher des deux plaignants courant de l’année 2022. Ces différentes publications mentionnent ou contiennent bien les différentes réactions du PDG de SOPHIA SA, Touré Ahmed Bouah. Cette nouvelle donne n’a plus occasionné de publications de notre part sur une quelconque crise entre eux.

Et là, de 2022, au 16 février 2024, date de la diffusion d’information de la création d’un collectif à la suite d’une assemblée générale constitutive, par un groupement dénommé : ‘‘Collectif Véritable des Créanciers de TOURE Ahmed Bouah (CVC-TAB)’’. Ce qui a été une surprise pour l’opinion, puisqu’elle n’avait plus connaissance d’une quelconque crise entre les créanciers et le débiteur, le PDG de SOPHIA SA. Ce qui reste aujourd’hui, l’affaire TOURE AHMED BOUAH c/ AJAVON Koffi et autres.

Pour mieux étaler une certaine foi, le service de communication de Sophia explique dans sa note et là pour confondre la rédaction qu’à ‘‘ la vérité, le PDG de la société immobilière SOPHIA.SA, M. TOURE Ahmed Bouah, ne doit pas d’argent à Ajavon Koffi, encore moins à ses comparses rassemblés avec lui dans une prétendue association dénommée « Collectif véritable des créanciers de TOURE Ahmed Bouah » (CVC-TAB) ». Fin de citation.

Petit fait qui contredit la celle de Com de TAB

Pour ne pas refaire l’affaire, la rédaction tient simplement  aussi  à noter qu’une reconnaissance de dette certifiée par l’avocat Me Rodrigue Dadjé et signée de PDG de SOPHIA SA Touré Ahmed Bouah existe belle et bien. La rédaction note que le PDG de SOPHIA SA Touré Ahmed Bouah n’a jamais nié ou remis en cause l’existence du document de reconnaissance de cette dette avec le cachet de son avocat Me Rodrigue Dadjé, avocat  à la Cour Abidjan plateau, fait le  28 juin 2022 à Abidjan.

Cette reconnaissance de dette a été  suivie de bon de règlement de facture, avec l’acompte  mentionnant clairement un paiement et indiquant aussi reste à  payer à AJAVON KOFFI de 142 millions de francs CFA, fait  le 27 décembre 2023 à Abidjan. Ces documents dont dispose le créancier ont été portés à notre connaissance pour justifier ses déclarations.  Le PDG de SOPHIA SA Touré Ahmed Bouah  n’a jamais dit qu’il est un faux. Ce qui remet en cause de façon claire, votre argument que nous avons cité plus haut.

Parlant de la décision de condamnation en  première instance du créancier AJAVON KOFFI, elle a fait l’objet d’opposition du défendeur, mais surtout qu’elle est une décision par défaut, puisque le jugement a été rendu alors que le défendeur (AJAVON KOFFI)  n’était pas présent à l’audience, ni représenté et n’a pas eu, antérieurement, connaissance de la date d’audience. Cela est bien mentionné dans ladite décision du jugement rendu en 2022.

Il ressort clairement de la décision que citez en référence, qu’aucune citation à comparaître n’a été délivrée en personne à AJAVON KOFFI le défendeur, dans la procédure initiée par le PDG de SOPHIA,  Touré Ahmed Bouah. C’est ce que dit clairement le jugement rendu. Cette Décision par défaut,  objet d’opposition pour retour à la Citation initiale en 2022 a-t-elle encore effet en 2024, si ce n’est de la diversion par manque d’argument de la part du  service de communication de Touré Ahmed Bougne. C’est de  bonne guerre.

Simplement  rependre la confusion

Rappelons que depuis, l’éclatement du dossier en 2022, les deux parties s’étaient rapprochées, mettant un terme à la diffusion d’informations des deux parties par notre rédaction, puisqu’elles n’avaient certainement plus rien à communiquer au public, jusqu’au 16 février 2024.

Au surplus, la publication des informations relatives au « Collectif véritable des créanciers de TOURE Ahmed Bouah » (CVC-TAB), ne saurait être une invention de la rédaction de Ledebativoirien.net. Les informations publiées ont fait l’objet d’une conférence de presse de la naissance dudit collectif par ses membres dont  nous avons publié le procès-verbal. Le PDG de SOPHIA SA, Touré Ahmed Bouah a été bien saisi par nos soins à l’effet d’avoir sa réaction, que nous avons publiée. Relisez toutes nos parutions liées  à ce fait. Il n’y a aucun acharnent. Il n’y a que profusion d’informations  à  diffuser sur le dossier.

Il est claire, la direction de communication du PDG de SOPHIA SA, Touré Ahmed Bouah n’apporte pas la preuve que le PDG de SOPHIA SA en conflit avec son créancier cité n’est pas contacté et ne réagit pas chaque fois  que la rédaction l’a saisi pour sa version des faits.

Aux dernières minutes une plainte des créanciers de Touré Ahmed Bouah devant  le pôle économique et financier fait baisser la garde du patron de SIOPHIA qui engage des négociations à l’effet du retrait de ladite plainte qui a fait l’objet d’un Soi-Transmis.  

La direction  de la communication du PDG de SOPHIA SA TAB peut encore soutenir qu’il n’y a pas de créances ? ‘‘ L’affaire TOURE Ahmed Bouah, c/ AJAVON Koffi’’ et autres’’, n’a pas encore dit son dernier mot.

Ledebativoirien.net

GRACE  OZHYLLY

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