Irié Bi Zamblé Etienne un travailleur de l’Etat foudroyé par un système ?
Salaire coupé en décembre 2023, Bail coupé depuis 2017, mis à la porte par une retraite obligatoire sans égards, la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance ferme les yeux ? Anne OULOTO saisie. Il vit comment ? Incroyable !
Ceci peut arriver à tout citoyen Ivoirien et ce, dans une indifférence totale et à tout moment. Il se nomme IRIE BI ZAMBLE ETIENNE.
Il est Officier des Douanes, aujourd’hui admis obligatoirement en retraite anticipée depuis décembre 2023. Il est de la promotion 2003-2004 de l’ENA (Ecole Nationale d’Administration)-Douanes. Son dernier poste a été à l’Inspection des Douanes ivoiriennes.
Tout le calvaire vécu en ces heures dans le silence commence pour cet officier, dès sa conférence du 24 juin 2022. Il alertait le Chef de l’Etat, le Président Alassane Ouattara par une dénonciation, une fraude et corruption au sein de l’administration des douanes ivoiriennes.
Un acte qui lui valut immédiatement d’être incarcéré, à la maison d’arrêt et de correction d’Abidjan. Motif : dénonciations calomnieuses selon les accusés et le ;p laignant qui ne sera autre que la direction générale des douanes contre laquelle il a porté plainte déjà, 1 an avant.
Il paie les frais de son audace, de se dresser contre son administration et la cohorte de fraudeurs et pilleurs de l’économie ivoirienne. Les enquêtes conduites par lui sur instruction de la même hiérarchie ont été très bien conduites à la satisfaction de sa hiérarchie.
Cependant, l’allure de l’exploitation des résultats des enquêtes par sa hiérarchie parce que prenant une allure inquiétante pousse l’officier à saisir le chef de l’Etat, Alassane Ouattara afin de l’en informer. L’infortuné lanceur d’alerte, celui-là, verra des rouges et des pas mures.
… Et pourquoi ?
Alors que le lanceur d’alerte est, toute personne, groupe ou institution qui adresse un signal d’alarme en espérant enclencher un processus de régulation ou de mobilisation collective, après avoir eu connaissance d’un danger, d’un risque ou d’un scandale avéré explique, l’ex ministre aujourd’hui, le Président de la Haute Autorité pour la Bonne gouvernance (HABG) Zoro Bi Ballo Épiphane.
Il a une très belle lecture de la situation du lanceur d’alerte. Mais, le lanceur d’alerte doit-il appartenir à un groupe bien précis pour sa protection, pour que sa situation préoccupe les autorités ivoiriennes ?
Que lui faut-il pour s’assurer que l’Etat le protège en terre ivoirienne ? Sa protection est-elle garantie en définitive en cas de prise de risques ? Eu égard à ce que vit ce fonctionnaire de l’Etat de Côte d’Ivoire, à l’heure actuelle, la tête va s’alourdir pour tenter une approche de réponse.
En attendant, le séquestré peut tranquillement monter vers Golgotha. Voici le chemin de croix de l’officier des Douanes natif d’un village situé entre Zuénoula et Gohitafla.
Irié BiZamblé Etienne mis en mission par sa hiérarchie paie le prix fort
Cet officier réussit avec succès les missions qui lui sont confiées, elles sont près d’une vingtaine dont plus d’une dizaine jugée spectaculaire. « Le Ministre Sanogo sait », ne cesse-t-il de clamer. Mais pour cet officier, tout ne semble pas toujours partir dans le bons sens après les différentes missions, depuis quelques temps.
En 2016 et 2017 il a déjà quelques couacs avec sa hiérarchie sur les rapports produits suite aux saisies opérées par lui et ses équipes. Une crise latente nait entre lui et sa hiérarchie. Un subalterne a-t-il le droit de vérifier les actes de ses chefs hiérarchiques ?
La Direction Général procède à la suspension de son bail dès 2017, puis ses primes de responsabilité, ses primes trimestrielles et tous les avantages liés à sa responsabilité suivront à partir de 2018. Le prix à payer après ces quelques saisies entre 2016 et 2019 de boisson alcoolisée à Yopougon Azito ;
marchandises dans les magasins diplomatiques à Abidjan-Marcory Zone 4, Cocody 2 plateaux vallon ; Boisson alcoolisée à Bouaké ; Huile végétale présentée comme de l’eau minérale ; à la SIR avec disparition de carburant ; des containers frauduleux en Zone 4 Marcory ; contrebandiers à Koumassi ; trafic de devis et drogue à l’aéroport international Félix Houphouët- Boigny.
Puis cette opération de saisie certainement de trop au Port d’Abidjan en 2019. Il est désigné par sa hiérarchie pour conduire l’enquête. Il réussit à identifier un trafic d’huile impropre à la consommation au Port Autonome d’Abidjan bien couverte par l’administration douanière. Il en paiera le prix lourd pour la tentative de démentiellement du réseau, à ce jour.
Le Directeur général des Douanes, DA Pierre- qui refuse de répondre aux nombreux courriers de la rédaction de Le Debat Ivoirien, – dans un rapport au ministre Sanogo livrera plus de détail en confirmant le forfait en ces termes :
« Monsieur le Secrétariat d’Etat auprès du Premier Ministre chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat. Objet : ‘‘Importations frauduleuses d’huile de palme au Port Autonome d’Abidjan’’. Par correspondance visée en référence, vous m’informez de ce que des informations faisant état de fraude sur des importations d’huile avec la complicité de certains agents des douanes ont été portées à votre connaissance.
A cet effet, vous m’instruisiez de vous transmettre un rapport circonstancié concernant cette affaire. Pour rappel, en date du 03 mai 2019, j’ai été saisi de cas de dépotage à quai de conteneurs d’huile de palme couverts par une déclaration en détail de RIZ CIAB16157 du 25/04/2019 objet d’une réquisition de la Direction d’Analyse du Risque, du Renseignement et de la Valeur (DARRV)…
Cette supercherie a été rendue possible à cause du laxisme et la complaisance de certains vérificateurs et chefs de service du Bureau Abidjan Port (DSDPSS) et du Bureau de Liaison (DARRP). Afin de m’éclairer utilement sur les faits et me permettre de prendre des mesures adéquates, j’ai instruit mes services de l’Inspection Générale de conduire des investigations à l’effet de cerner tous les contours de ce dossier litigieux et de situer les responsabilités….».
Les contours de ce dossier dit litigieux par le directeur général des douanes ne seront pas connus du ministre qui a découvert la fraude massive sur l’importation de l’huile non chimiquement transformée et directement mise à la consommation en Côte d’Ivoire.
2020 la tension monte entre l’officier et sa hiérarchie
Une levée de voix s’opère avec la désignation d’une autre personne non présente sur les lieux et n’ayant pas conduit l’enquête de la saisie des 60 conteneurs d’huile impropre à la consommation et frauduleusement importée de l’Asie du sud, Malaisie, Singapour etc.,pour la rédaction du rapport.
Il est refusé à l’officier envoyé sur les lieux, la rédaction dudit rapport ou procès-verbal. Décision de la direction générale.
Comment est-ce possible à une personne n’ayant rien vu, rien attendu sur un site de rédiger le Procès-verbal depuis son bureau ? Toute ces saisies sont assorties de paiements de droits compromis qui sont versés au trésor public. Et des amendes pour les fraudes. Les traces de tous ces paiements sont introuvables selon l’officier. Il ajoute que les saisies en douanes sont pour la plus part rendues possibles grâce à la collaboration de plusieurs personnes extérieures des douanes appelées Indicateurs.
Ceux-ci lui réclament le paiement de leurs primes étant donné qu’un d’entre eux a perçu le paiement des 10% de l’opération de saisie dans les magasins diplomatiques. Un silence s’installe autour des droits compromis et des amendes payés par les opérateurs saisis. L’officier ne se taira plus sur cette énième mascarade à la direction des douanes ivoiriennes selon lui. Le ton monte.
Il saisit le chef de l’Etat Alassane Ouattara douanes dont le cabinet annonce l’ouverture d’une enquête, par courrier. Il saisit le ministre en charge de la bonne gouvernance aujourd’hui président de la haute autorité pour la bonne gouvernance ; il saisit le procureur de la république sur les agissements anti républicains de la direction générale des douanes ivoiriennes.
La direction générale des douanes tente d’éteindre le feu en initiant une médiation
De bonne foi ou un piège ? Avril 2021 dans un hôtel d’Abidjan, une rencontre a d’abord lieu entre un agent répondant au nom de Bahi Antoine et lui. D’autres rencontres en présence de son ex avocat, le 23 et 29 novembre 2021, suivront.
Le 28 juin 2021, il réclame, auprès du Directeur Général des Douanes Ivoiriennes, une audience avec une relance, le 07 juillet 2021, via son conseil qui dénonce par la même occasion, des faits de corruption au sein de l’administration douanière.
En avril 2022, l’agent BAHI Antoine en compagnie d’un autre douanier répondant au nom de Labi Dominique, relance la médiation. Un refus catégorique de renoncer aux dénonciations est adressé aux émissaires de la direction générale des douanes, jusqu’à l’éclatement de la justice, selon l’officier enquêteur autour des scandales soulevés.
La coupe est pleine, le 22 juin 2022
C’est alors que l’officier tient une conférence de presse au cours de laquelle il dévoile la grosse supercherie autours des activités de l’administration douanière. Le 28 juin 2028 la direction des douanes saisit le Procureur de la République qui a entre ses mains, la plainte de l’officier depuis octobre 2021.
Deux jours après la plainte de la direction des douanes, l’officier est déposé à la MACA, le 30 juin 2022. Il sera jugé le 7 juillet 2023 et libéré, le même 7 juillet 2023. Il sort la nuit du même jour du jugement de la prison, après y avoir passé 1 an et 7 jours.
Ce ne sera pas tout pas tout. D’énormes entraves seront dressées pour son nouveau statut à la suite du concours d’Inspecteurs des douanes après son admission et sa formation dans ce domaine.
A sa sortie de l’univers carcéral, il est sur décision du directeur général des douanes purement et simplement mis en retraite anticipée obligatoire sans aucune note d’information préalable, sans perception des droits et autres liés à son statut.
Alors qu’il a été admis au concours professionnel exceptionnel d’accès à l’emploi d’INSPECTEUR DES DOUANES au titre de l’année 2019 et subit brillamment la formation à cet effet. Ce qu’attestent : l’Arrêté du ministère de la Fonction Publique portant admission au concours, la Note de service du 14 décembre 2020 du Directeur Général des douanes le général Alphonse DA Pierre, ainsi que le compte rendu de prise de service et l’Attestation de Présence à la formation d’accès à l’emploi des INSPECTEURS DES DOUANES émis par le Directeur de la Formation.
Mais, une fois terminée la formation, difficile sera son intégration dans sa nouvelle fonction et nouveau statut d’Inspecteur des Douanes, parce qu’il refuse de cautionner des actes anti républicains de l‘administration douanière.
Des démarches menées pour la régularisation de son statut sont restées vaines.
« Je dis anticipée, parce que, lorsqu’un agent doit aller à la retraite, la hiérarchie lui écrit pour qu’il prépare sa documentation pour sa pension de retraite. La direction générale des Douanes me met en prison alors que je suis encore en fonction.
Quand je sors de prison où j’ai été incarcéré injustement, le recensement des fonctionnaires étant en cours, je vais voir la direction des douanes pour dire : ‘‘Qu’est-ce qu’on fait !’’ Je vais voir le directeur des ressources humaines pour dire que je veux me recenser, afin que la Solde puisse me reconnaitre et me payer, puisqu’à ce moment-là, je n’étais pas encore à la retraite.
Le DRH va voir le Directeur général des douanes Da pierre en ma présence. Il dit : ‘‘Dis à Irié de prendre l’acte qui l’a sorti de prison pour se faire Recenser à la Fonction Publique’’ ; là où la Fonction publique demande une attestation de présence de mon service….».
Il vit comment ?
L’officier face à sa hiérarchie entend lui être dit. « Nous te rappellerons ». Il ne sera pas appelé mais constatera que sa paie est coupé, le 31 décembre 2023 et ce, à ce jour.
Mme ANNE DESIREE OULOTO, Ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration est saisie, le 31 mai 2024 de la situation de ce fonctionnaire. L’officier a de ce fait déposé plainte devant la ministre.
« Je vis comment ? Je n’ai aucun droit, aucune pension. Toutes mes primes sont supprimées, tous mes avantages sont supprimés. Je parle de retraite anticipée, parce que depuis 2017, la suppression de mes émoluments a commencé avec les enquêtes sur les différentes affaires. Alors que c’est la hiérarchie qui me met en mission pour enquêter ».
Dès que les premiers résultats de sa démarche rigoureuse sortent, la direction générale des douanes lui coupe tout pour le réduire au silence. Bien qu’étant en fonction, en 2017 son bail est coupé sans justificatif. Puisqu’effectivement, dès que le fonctionnaire part en retraite, il lui est coupé immédiatement le bail. Donc déjà admis à faire valoir ses droits de retraite en 2017, sans être encore en retraite.
Il répondait pourtant à l’appel du Chef de l’Etat Alassane Ouattara pour la dénonciation d’actes de corruption, de fraudes dans l’administration ivoirienne. Son devoir de mettre en exécution, la volonté du Président de la République qui fait de la lutte contre la fraude et la corruption dans l’administration sa priorité, lui a valu une grosse persécution de son administration, de sa hiérarchie et de la direction générale des douanes ivoiriennes.
Dans le rétablissement de ses droits, il a d’une part saisi le Tribunal aux fins d’un compulsoire des registres et documents des douanes liés au paiement de ses primes de responsabilités conformément à l’Ordonnance N° 5635/2023. Jusqu’à ce jour rien ne viendra de la direction générale des douanes. Il est encore et toujours dans l’attente. Et d’autre part, il a saisi le Procureur Général près la Cour d’Appel d’une plainte contre son ex Avocat pour détention de ses dossiers et son refus de l’appel contre la décision de sa condamnation à 12 mois ferme.
Lequel lui a soufflé simplement à l’oreille que la liberté recouvrée est meilleure. Alors qu’il est question de sa réputation et de son honneur. A sa sortie de prison, le premier acte qu’il pose sera de se séparer de son avocat Me Ibitowa Rashidi. Il lui adresse un courrier de rupture de contrat en septembre 2023. Il le suspecte d’être de connivence, parce que d’une part, le conseil ayant refusé de faire appel à sa condamnation de 12 mois qu’il trouve injuste.
D’autre part, s’appuyant sur les échanges entre lui et son conseil, lors de la visite du 22 août 2022 de celui-ci alors qu’il était en détention à la MACA. « Je lui ai demandé pourquoi en tant qu’avocat, il s’est compromis avec la direction des douanes. Il a dit qu’il n’est pas corruptible. Et que pour le faire, il fallait débourser 1 milliard FCFA. Je ne pouvais plus continuer avec lui.
A ce jour, il est incapable de me restituer mes dossiers, cars il a transigé….Ils ne sont certainement plus en sa possession…Il n’a pas encore répondu à mon courrier…». La rédaction a téléphoniquement tenté de joindre l’avocat en question avant la mise sous presse. Impossible !
Ne voulant pas assister à cette déliquescence de l’administration douanière, l’officier a informé à nouveau le Chef de l’Etat, le Président de la République Alassane OUATTARA de la situation en mai 2024. Puisque, le Ministre Directeur du Cabinet de la Présidence de la République Fidèle Sarassoro, lui avait répondu que la conduite d’investigations par le ministère de tutelle, fera la lumière. Sombre ! Le fait d’avoir dénoncé les manquements de l’administration douanière vaut à cet officier, aujourd’hui, une séquestration sans précèdent dans l’histoire de l’administration ivoirienne.
Irié mérite réparation et rétablissement de ses droits
Ne mérite-il pas une Grace Présidentielle, par l’annulation de la décision du Juge du 3ème Cabinet d’Instruction d’Abidjan, le condamnant à 12 mois, ferme, pour avoir dénoncé la direction générale donc il est victime de séquestration sans nom ? Ne mérite-il pas la reconnaissance de son grade d’INSPECTEUR des Douanes après son admission et ma formation, ce qui facilitera la constitution de son dossier pour faire valoir tranquillement son droit à la retraite comme le veut l’administration ?
Ne mérite-il pas le rétablissement de son bail coupé depuis 2017 avant même de le conduire en retraite ? Ne mérite-il pas ses primes de responsabilité, ses primes trimestrielles coupées des années durant alors qu’il conduisait des enquêtes pour les douanes ivoiriennes ?
Ne mérite-il pas la réparation pour sa détention injuste à la MACA, un (1) an et sept (7) pour sévices corporels? Ne mérite-il pas le respect de la procédure de sa mise en retraite anticipée sans une note d’information préalable, sans perception des droits et autres afférents à son statut ?
Ne mérite-il pas le paiement des 10% des primes des amendes portant sur les saisies opérées lors de ses enquêtes, sur ordre de sa hiérarchie le Directeur Général DA Pierre Alphonse et l’adjoint Kadio Albert Louis ? Ne mérite-il pas le paiement des dommages par la direction générale des douanes pour le traitement dont il est l’objet pour avoir dénoncé des faits de manquements et de corruption dans cette administration.
Ce qu’en pense la Haute autorité pour la bonne Gouvernance
«La protection des lanceurs d’alerte est essentielle pour lutter contre la corruption. Elle encourage les individus à signaler les actes répréhensibles en toute sécurité, sans craindre de représailles.
Elle favorise le découragement de la commission des actes de corruption, l’amélioration de la transparence, le renforcement de la confiance du public et l’identification des failles dans les systèmes de contrôle », explique pourtant clairement le juge Zoro Bi Ballo Épiphane président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance.
Mais, que fait-on pour Irié Bi Zamblé Etienne en attendant. !
Le juge Zoro Bi Ballo Épiphane au parfum du dossier de ce fonctionnaire ivoirien maltraité par l’administration ivoirienne pense qu’il y a matière à réfléchir sur la mise en place d’un dispositif juridique de protection des lanceurs d’alerte en Côte d’Ivoire. Tant la situation telle qu’il la récent pour ce pauvre serviteur de l’Etat maltraité par des dispositifs de l’Administration appelle à une urgence nationale, avant que le pire n’advienne.
Car, c’est qu’espèrent pour ce serviteur gênant, ceux qui tiennent et détiennent le dossier. Mais le Juge Zoro Bi Ballo Épiphane en sa qualité de Président de cette haute et prestigieuse institution qui doit garantir la Bonne Gouvernance attend d’abord mettre en place ce qui pourrait encourager la transparence, garantir la sécurité des lanceurs d’alerte et favoriser l’intégrité et l’éthique.
Ainsi depuis, le 13 mai 2024 il a saisi la Haute Autorité pour la bonne gouvernance. Et le 15 mai 2024, il a saisi aussi, le Président Alassane Ouattara. Mettant à sa disposition toute la documentation y afférent.
Tous les courriers de la rédaction adressés au Directeur Général des Douanes Ivoiriennes pour un éclairage sont restés sans suite, à ce jour.
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