Le candidat à la présidence de l’Ordre National des Infirmiers et Infirmières de Côte d’Ivoire (ONIICI), Niambly Becemoh Guillaume, était face à la presse, mercredi 23 octobre 2024 à la salle de réunion de l’Hôpital Marie Thérèse Houphouet Boigny d’Adjamé. Ce, pour expliquer sa vision et son projet de gestion de l’Ordre.
« L’État nous a délégué une partie de ses pouvoirs, c’est à dire, l’Ordre National des Infirmiers et Infirmières de Côte d’Ivoire.
Alors, c’est une opportunité que nous devons saisir et nous montrer encore plus responsables et professionnels. C’est pourquoi, pour le respect de l’éthique et de la déontologie, je suis candidat pour prévenir, agir contre les manquements professionnels et maintenir les bons états de service des infirmiers et infirmières dans nos établissements sanitaires », s’est engagé Niambly Becemoh Guillaume.
En ce qui concerne, la mise en place d’un fichier fiable des infirmiers et infirmières en exercice en Côte d’Ivoire, la tête de liste : « Ensemble pour le Changement » prévoit une opération d’identification afin d’obtenir le nombre exact des infirmiers et infirmières du public et du privé en Côte d’Ivoire. Ensuite, il compte, une fois à la tête de l’ONIICI, faire ressortir les domaines de compétences réelles et limites de l’infirmier dans l’exercice de la profession.
Le programme de Niambly Becemoh Guillaume et son équipe met l’accent sur la gouvernance renforcée de l’ONIICI avec un système de gestion efficace et transparent et des structures fortes notamment les comités permanents pour gérer les missions du bureau national de l’ONIICI ;
la réglementation et l’excellence clinique à travers la création d’une cellule permanente de veille réglementaire pour surveiller l’évolution des textes législatifs concernant la profession infirmière et la conception d’une application pour identifier, contrôler et couvrir au quotidien des professionnels infirmiers et leurs actes afin de lutter contre l’exercice illégale de la profession infirmière d’une part et.
la promotion d’une démarche qualité des soins et le respect des procédures ; une communication et une interaction avec le public ; la promotion de la formation continue et du leadership infirmier et enfin l’effectivité d’une corrélation entre la santé publique et la sécurité des infirmiers.
Ledebativoirien.net
H.KARA
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